« Trop dur »: Le pénible aveu de Laurent Jalabert
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Publié le , mis à jour le
Consultant sur le Tour de France pour France Télévisions, Laurent Jalabert s'est souvenu vendredi de son arrivé à Isola 2000 en 1993. Un moment pénible.
Ce vendredi, le peloton du Tour de France s'est élancé pour disputer la dix-neuvième étape. Sans conteste la plus éprouvante de cette cent-onzième édition, cette étape entre Embrun et Isola 2000 est également une journée un peu particulière pour Laurent Jalabert. L'ancien champion tricolore a puisé dans ses souvenirs pour se remémorer l'arrivée à Isola 2000 en 1993, dernière fois où les coureurs de la Grande Boucle ont passé la ligne dans la station, avant cette cuvée 2024. Et pour lui, la journée avait été très dure.
Sur le plateau de France Télévisions, le vainqueur de la Vuelta 1995 a évoqué ce souvenir pénible, avec d'abord un petit trait d'humour : « Le 'Vélo Club' était fini quand j'étais arrivé. Ils démontaient les barrières. » Arrivé avec trente-deux minutes et cinquante-trois secondes de retard sur Tony Rominger, vainqueur du jour et de cette onzième étape du quatre-vingtième Tour de France, Laurent Jalabert a repris son sérieux avant de poursuivre. « Bon souvenir ? Franchement non. J'avais souffert. »
Et le double vainqueur du maillot à pois sur le Tour (2001 et 2002) de remonter dans le temps : « On partait de Serre-Chevalier et on montait l'Izoard en plus. Une étape de 179 kilomètres. C'était long. Trop dur. Trop dur. J'étais jeune (il avait alors vingt-quatre ans, ndlr) et oui, j'étais en difficulté ce jour-là. C'était vraiment de la fatigue. Elle était loin l'arrivée à Isola 2000 et quand on est arrivé au bout, on était content de finir. »
Trente-et-un ans plus tard, Laurent Jalabert se contente donc de commenter l'étape reine de cette édition. À l'avant-veille de l'arrivée du Tour de France à Nice, le classement semble pratiquement figé, à moins d'une terrible défaillance de l'un ou de l'autre des leaders. Tadej Pogacar, en pleine forme, pourrait de son côté être déjà assuré de la victoire finale.
Ce vendredi, le peloton du Tour de France s'est élancé pour disputer la dix-neuvième étape. Sans conteste la plus éprouvante de cette cent-onzième édition, cette étape entre Embrun et Isola 2000 est également une journée un peu particulière pour Laurent Jalabert. L'ancien champion tricolore a puisé dans ses souvenirs pour se remémorer l'arrivée à Isola 2000 en 1993, dernière fois où les coureurs de la Grande Boucle ont passé la ligne dans la station, avant cette cuvée 2024. Et pour lui, la journée avait été très dure.
Sur le plateau de France Télévisions, le vainqueur de la Vuelta 1995 a évoqué ce souvenir pénible, avec d'abord un petit trait d'humour : « Le 'Vélo Club' était fini quand j'étais arrivé. Ils démontaient les barrières. » Arrivé avec trente-deux minutes et cinquante-trois secondes de retard sur Tony Rominger, vainqueur du jour et de cette onzième étape du quatre-vingtième Tour de France, Laurent Jalabert a repris son sérieux avant de poursuivre. « Bon souvenir ? Franchement non. J'avais souffert. »
« J'étais en difficulté »
Et le double vainqueur du maillot à pois sur le Tour (2001 et 2002) de remonter dans le temps : « On partait de Serre-Chevalier et on montait l'Izoard en plus. Une étape de 179 kilomètres. C'était long. Trop dur. Trop dur. J'étais jeune (il avait alors vingt-quatre ans, ndlr) et oui, j'étais en difficulté ce jour-là. C'était vraiment de la fatigue. Elle était loin l'arrivée à Isola 2000 et quand on est arrivé au bout, on était content de finir. »
Trente-et-un ans plus tard, Laurent Jalabert se contente donc de commenter l'étape reine de cette édition. À l'avant-veille de l'arrivée du Tour de France à Nice, le classement semble pratiquement figé, à moins d'une terrible défaillance de l'un ou de l'autre des leaders. Tadej Pogacar, en pleine forme, pourrait de son côté être déjà assuré de la victoire finale.
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