Vingegaard, gros coup de gueule validé
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Critiqué pour ne pas avoir voulu collaborer avec Tadej Pogcar et Remco Evenepoel lors de la 7e étape du Tour de France, Jonas Vingegaard s'est défendu. Ses propos ont été validés par certains observateurs.
Avant la première journée de repos, la septième étape du Tour de France qui avait lieu dimanche entre Nuits-Saint-Georges et Gevrey-Chambertin, a offert un spectacle et des attaques successives au passage des quatorze sections des chemins blancs. Parmi les leaders, Tadej Pogacar et Remco Evenepoel ont notamment tenté leur chance pour essayer de creuser l'écart avec la concurrence, sans toutefois y parvenir. À l'arrivée, nombreux ont été ceux qui ont déploré le fait que Jonas Vingegaard ne soit pas venu leur prêter main-forte. Le Danois s'est défendu de ses attaques et pour certains, il a eu bien raison.
« Si je collaborais avec les deux alors qu'il restait quatre-vingt kilomètres et que j'étais ensuite décroché dans un autre secteur comme ça a été le cas, j'aurais perdu le Tour ce dimanche, a expliqué le double-vainqueur en titre de la Grande Boucle. Donc je ne dirais pas que c'est un manque de couilles, je dirais que j'ai couru intelligemment. Peut-être que les gens ne comprennent pas notre tactique, mais c'est leur problème. » Une déclaration et une façon de voir les choses qui ont été partagées par plusieurs observateurs.
Présent lundi soir sur le plateau de la chaîne L’Équipe, Hervé Penot a validé les propos de Jonas Vingegaard. « Je pense qu'il a 100% raison, parce qu'on parle d'un coureur qui n'a plus rien fait depuis début avril, qui a été emmené à l’hôpital, cassé de partout (suite à sa chute brutale lors du Tour du Pays basque, ndlr). Il revient, on ne sait pas, et lui-même ne sait exactement, dans quelle forme physique il est. Le but n'est pas de se cramer au bout d'une semaine. On sait que tout va se jouer dans la troisième semaine. S'il peut les suivre, tant mieux, c'est ce qu'il a fait. »
Le journaliste a terminé son analyse : « Après il aurait fallu quoi ? Pour le spectacle ? Oh le spectacle... Et puis si le surlendemain je prends un écart de trois ou quatre minutes ou lors de la première étape de montagne... À mon avis, ce qu'il doit faire déjà, c'est se gérer, ce qu'il fait depuis le début du Tour. Je ne vois pas du tout comment on peut le critiquer. » Une mise au point et un soutien qui ont le mérite d'être clairs.
Avant la première journée de repos, la septième étape du Tour de France qui avait lieu dimanche entre Nuits-Saint-Georges et Gevrey-Chambertin, a offert un spectacle et des attaques successives au passage des quatorze sections des chemins blancs. Parmi les leaders, Tadej Pogacar et Remco Evenepoel ont notamment tenté leur chance pour essayer de creuser l'écart avec la concurrence, sans toutefois y parvenir. À l'arrivée, nombreux ont été ceux qui ont déploré le fait que Jonas Vingegaard ne soit pas venu leur prêter main-forte. Le Danois s'est défendu de ses attaques et pour certains, il a eu bien raison.
« Si je collaborais avec les deux alors qu'il restait quatre-vingt kilomètres et que j'étais ensuite décroché dans un autre secteur comme ça a été le cas, j'aurais perdu le Tour ce dimanche, a expliqué le double-vainqueur en titre de la Grande Boucle. Donc je ne dirais pas que c'est un manque de couilles, je dirais que j'ai couru intelligemment. Peut-être que les gens ne comprennent pas notre tactique, mais c'est leur problème. » Une déclaration et une façon de voir les choses qui ont été partagées par plusieurs observateurs.
Critiques incompréhensibles
Présent lundi soir sur le plateau de la chaîne L’Équipe, Hervé Penot a validé les propos de Jonas Vingegaard. « Je pense qu'il a 100% raison, parce qu'on parle d'un coureur qui n'a plus rien fait depuis début avril, qui a été emmené à l’hôpital, cassé de partout (suite à sa chute brutale lors du Tour du Pays basque, ndlr). Il revient, on ne sait pas, et lui-même ne sait exactement, dans quelle forme physique il est. Le but n'est pas de se cramer au bout d'une semaine. On sait que tout va se jouer dans la troisième semaine. S'il peut les suivre, tant mieux, c'est ce qu'il a fait. »
Le journaliste a terminé son analyse : « Après il aurait fallu quoi ? Pour le spectacle ? Oh le spectacle... Et puis si le surlendemain je prends un écart de trois ou quatre minutes ou lors de la première étape de montagne... À mon avis, ce qu'il doit faire déjà, c'est se gérer, ce qu'il fait depuis le début du Tour. Je ne vois pas du tout comment on peut le critiquer. » Une mise au point et un soutien qui ont le mérite d'être clairs.
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