Bradley Barcola, une attitude déplacée dénoncée

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La crise des droits TV a accouché d’échanges houleux entre Nasser Al-Khelaïfi et John Textor, Bradley Barcola se retrouvant impliqué à son corps défendant.
La guerre est déclarée entre John Textor et Nasser Al-Khelaïfi. La raison ? les lourdes critiques du président de l’Olympique Lyonnais contre le ticket DAZN-beIN, qui a finalement eu la préférence du collège de la Ligue 1 dans le dossier des droits TV. « Signer un contrat à long terme avec des modèles de distribution traditionnels, c’est regarder vers le passé, alors que nous devrions regarder vers l’avenir », a-t-il ainsi écrit dans un communiqué, jugeant cette solution « obsolète ».
Cette sortie a provoqué la colère de Nasser Al-Khelaïfi, président du PSG et de BeIN Sports. « Vous nous avez mis dans une situation critique mais il faut qu'on se batte pour nos droits. Vous leur avez dit cinq ans. Nous, on a continué à se battre pour que ce soit deux ans. Donc vous avez agi contre la Ligue, contre les clubs, contre nous. Moi j'en ai marre, ça suffit, a-t-il lancé à destination de son homologue lyonnais, selon RMC Sport. Vous mettez tous les clubs dans une telle situation... C'est inacceptable. J'ai essayé de rester calme, j'ai essayé d'aider, de me battre pour mon club, pour la Ligue. Mais ce que vous faites est négatif. Et je vous promets que vous serez jugé responsable à propos de tout ça. Car ça suffit. Je pensais que vous alliez régler le problème mais vous avez fait exactement l'inverse. »
La tension est telle que Nasser Al-Khelaïfi envisagerait de porter l’affaire devant la justice, selon RMC Sport. En attendant, John Textor en a remis une couche en réagissant de manière ironique sur X, anciennement Twitter. « Félicitations à BeIN Sports ! Le réseau PSG a une fois de plus obtenu le droit de lancer des promotions du PSG sur les matchs de l’OL », a-t-il écrit. Une remarque qui lui a valu un sévère retour de bâtons.
« C’est le même président qui a demandé au PSG il y a 10 jours une avance sur les paiements du transfert de Barcola pour avoir du cash pour son mercato ? », a notamment écrit le journaliste Loïc Tanzi. Devant composer avec des problèmes de trésorerie, le président lyonnais espérait en effet une faveur du PSG pour avancer sur son marché des transferts. En vain.
La guerre est déclarée entre John Textor et Nasser Al-Khelaïfi. La raison ? les lourdes critiques du président de l’Olympique Lyonnais contre le ticket DAZN-beIN, qui a finalement eu la préférence du collège de la Ligue 1 dans le dossier des droits TV. « Signer un contrat à long terme avec des modèles de distribution traditionnels, c’est regarder vers le passé, alors que nous devrions regarder vers l’avenir », a-t-il ainsi écrit dans un communiqué, jugeant cette solution « obsolète ».
Cette sortie a provoqué la colère de Nasser Al-Khelaïfi, président du PSG et de BeIN Sports. « Vous nous avez mis dans une situation critique mais il faut qu'on se batte pour nos droits. Vous leur avez dit cinq ans. Nous, on a continué à se battre pour que ce soit deux ans. Donc vous avez agi contre la Ligue, contre les clubs, contre nous. Moi j'en ai marre, ça suffit, a-t-il lancé à destination de son homologue lyonnais, selon RMC Sport. Vous mettez tous les clubs dans une telle situation... C'est inacceptable. J'ai essayé de rester calme, j'ai essayé d'aider, de me battre pour mon club, pour la Ligue. Mais ce que vous faites est négatif. Et je vous promets que vous serez jugé responsable à propos de tout ça. Car ça suffit. Je pensais que vous alliez régler le problème mais vous avez fait exactement l'inverse. »
John Textor renvoyé dans ses 22
La tension est telle que Nasser Al-Khelaïfi envisagerait de porter l’affaire devant la justice, selon RMC Sport. En attendant, John Textor en a remis une couche en réagissant de manière ironique sur X, anciennement Twitter. « Félicitations à BeIN Sports ! Le réseau PSG a une fois de plus obtenu le droit de lancer des promotions du PSG sur les matchs de l’OL », a-t-il écrit. Une remarque qui lui a valu un sévère retour de bâtons.
« C’est le même président qui a demandé au PSG il y a 10 jours une avance sur les paiements du transfert de Barcola pour avoir du cash pour son mercato ? », a notamment écrit le journaliste Loïc Tanzi. Devant composer avec des problèmes de trésorerie, le président lyonnais espérait en effet une faveur du PSG pour avancer sur son marché des transferts. En vain.
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