Ça discute aux Emirats pour un club de Ligue 1

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Après le Qatar, et alors que l’Arabie saoudite garde un œil attentif sur la Ligue 1, les Emirats arabes unis pourraient investir sous peu dans l’élite française.
Le modèle qatarien à Paris est assurément une réussite, ne serait-ce qu’en termes de moyens investis par le fonds souverain pour parvenir à ses fins. Forcément, un tel projet peut faire des émules, et la rumeur saoudienne s’invite régulièrement dans les coulisses de la Ligue 1, essentiellement du côté de Marseille et de Monaco. Sans concrétisation à ce jour.
De fait, les Emirats arabes unis pourraient devenir le nouvel acteur moyen-oriental majeur de l’élite française avec une approche d’ores et déjà réalisée auprès d’un club bien précis. Détenu à 85% par le fonds d'investissement américain RedBird Capital Partners depuis juillet 2020, le Toulouse FC serait en pourparlers avec WGI – ou World Gate Investment.
https://x.com/sports_fr/status/1911436128231514567
Basé à Dubaï, le fonds émirati n’est pas forcément spécialisé dans le sport mais ne cache pas son intérêt pour un TFC qui compte parmi les clubs de Ligue 1 les mieux gérés si l’on s’en tient aux bilans comptables. Les Violets ont en effet conclu l’exercice 2023-2024 avec un bénéfice de 7 millions d’euros – pas un mince exploit au vu des difficultés financières observées dans le championnat de France.
Bien sûr, il convient de relativiser pour l’heure ; mais L’Equipe ce dimanche cite un intermédiaire impliqué dans le dossier – un relais qui se dit optimiste quant au dénouement des discussions menées. « On s’est renseignés. Les conditions semblent intéressantes pour nous. C’est dans nos cordes », souffle ce dernier, jugeant puisqu’il « pourrait y avoir du nouveau dans les semaines à venir ».
RedBird Capital Partners brille par sa discrétion depuis son arrivée à Toulouse il y a cinq ans, laissant volontiers les rênes à Damien Comolli. Depuis 2022 et son entrée dans le capital de l’AC Milan, le fonds américain en revanche apparaît beaucoup plus investi dans le ballon rond. Avec plus de 800 millions d’euros déjà misés sur les Rossoneri.
Le modèle qatarien à Paris est assurément une réussite, ne serait-ce qu’en termes de moyens investis par le fonds souverain pour parvenir à ses fins. Forcément, un tel projet peut faire des émules, et la rumeur saoudienne s’invite régulièrement dans les coulisses de la Ligue 1, essentiellement du côté de Marseille et de Monaco. Sans concrétisation à ce jour.
De fait, les Emirats arabes unis pourraient devenir le nouvel acteur moyen-oriental majeur de l’élite française avec une approche d’ores et déjà réalisée auprès d’un club bien précis. Détenu à 85% par le fonds d'investissement américain RedBird Capital Partners depuis juillet 2020, le Toulouse FC serait en pourparlers avec WGI – ou World Gate Investment.
https://x.com/sports_fr/status/1911436128231514567
Basé à Dubaï, le fonds émirati n’est pas forcément spécialisé dans le sport mais ne cache pas son intérêt pour un TFC qui compte parmi les clubs de Ligue 1 les mieux gérés si l’on s’en tient aux bilans comptables. Les Violets ont en effet conclu l’exercice 2023-2024 avec un bénéfice de 7 millions d’euros – pas un mince exploit au vu des difficultés financières observées dans le championnat de France.
Des conditions « intéressantes » en Ligue 1 pour les Emiratis
Bien sûr, il convient de relativiser pour l’heure ; mais L’Equipe ce dimanche cite un intermédiaire impliqué dans le dossier – un relais qui se dit optimiste quant au dénouement des discussions menées. « On s’est renseignés. Les conditions semblent intéressantes pour nous. C’est dans nos cordes », souffle ce dernier, jugeant puisqu’il « pourrait y avoir du nouveau dans les semaines à venir ».
RedBird Capital Partners brille par sa discrétion depuis son arrivée à Toulouse il y a cinq ans, laissant volontiers les rênes à Damien Comolli. Depuis 2022 et son entrée dans le capital de l’AC Milan, le fonds américain en revanche apparaît beaucoup plus investi dans le ballon rond. Avec plus de 800 millions d’euros déjà misés sur les Rossoneri.
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