Camavinga vexé, l'échange aigre-doux

Publié le , mis à jour le
Présent jeudi en conférence de presse, Eduardo Camavinga a mal pris une question d'un journaliste.
Au lendemain de la victoire en amical de l'équipe de France face au Luxembourg (3-0), deux joueurs sont venus répondre aux questions des journalistes. Avec Randal Kolo Muani, c'est Eduardo Camavinga qui s'y est collé. Et le joueur du Real Madrid a mal pris l'une des questions posées par l'un de ses interlocuteurs. L'occasion d'un échange entre rire et petite vexation.
Au départ interrogé sur sa frustration éventuelle de ne pas encore avoir réalisé de gros matchs au milieu de terrain avec les Bleus, Eduardo Camavinga a interprété à sa manière la question et y a répondu avec un sourire crispé. « Pour vous ne n'ai pas fait de gros matchs avec l'équipe de France au milieu de terrain ? » Ce à quoi Vincent Duluc, journaliste à L’Équipe, a répondu à son tour en reformulant sa question : « Je dis juste que récemment, tu n'as pas forcément pris la place, tu ne t'es pas forcément imposé comme un titulaire. »
Et Eduardo Camavinga d'enchaîner lui aussi les interrogations : « Récemment ? Vous partez à partir de quand ? » Et lorsque son interlocuteur lui a précisé « depuis un an », le Madrilène a répondu : « Un an ? J'ai été nul pendant un an ? » Voyant que le milieu de terrain restait persuadé qu'il lui avait dit qu'il n'était pas bon du tout, le journaliste a précisé en riant : « Je n'ai pas dit ça. » De quoi faire revenir un moment Camavinga sur les rails. « Je ne suis pas frustré. Si je suis là devant vous, c'est que j'ai forcément des qualités au milieu de terrain. »
Mais l'accalmie n'a pas duré plus de quelques secondes et l'ancien du Stade Rennais est illico revenu à son interprétation première de la question, de quoi amener une nouvelle précision de Vincent Duluc : « Visiblement on n'est pas les seuls... Enfin... Le sélectionneur... Tu n'es pas toujours le premier choix du sélectionneur au milieu de terrain, c'est ce que je voulais dire. » Et Eduardo Camavinga d'avoir le dernier mot : « Ah. C'est une autre question ça. En équipe de France il y a une forte concurrence et il faut l'accepter. Après, le sélectionneur fait ses choix. Sur le terrain, il faut donner son maximum. Même si pour vous ça fait un an que je suis nul (rire). Je pense que j'ai fait certains bons matchs avec l'équipe de France, sinon je ne serais pas ici. »
Au lendemain de la victoire en amical de l'équipe de France face au Luxembourg (3-0), deux joueurs sont venus répondre aux questions des journalistes. Avec Randal Kolo Muani, c'est Eduardo Camavinga qui s'y est collé. Et le joueur du Real Madrid a mal pris l'une des questions posées par l'un de ses interlocuteurs. L'occasion d'un échange entre rire et petite vexation.
Au départ interrogé sur sa frustration éventuelle de ne pas encore avoir réalisé de gros matchs au milieu de terrain avec les Bleus, Eduardo Camavinga a interprété à sa manière la question et y a répondu avec un sourire crispé. « Pour vous ne n'ai pas fait de gros matchs avec l'équipe de France au milieu de terrain ? » Ce à quoi Vincent Duluc, journaliste à L’Équipe, a répondu à son tour en reformulant sa question : « Je dis juste que récemment, tu n'as pas forcément pris la place, tu ne t'es pas forcément imposé comme un titulaire. »
« J'ai fait des bons matchs, sinon je ne serais pas ici »
Et Eduardo Camavinga d'enchaîner lui aussi les interrogations : « Récemment ? Vous partez à partir de quand ? » Et lorsque son interlocuteur lui a précisé « depuis un an », le Madrilène a répondu : « Un an ? J'ai été nul pendant un an ? » Voyant que le milieu de terrain restait persuadé qu'il lui avait dit qu'il n'était pas bon du tout, le journaliste a précisé en riant : « Je n'ai pas dit ça. » De quoi faire revenir un moment Camavinga sur les rails. « Je ne suis pas frustré. Si je suis là devant vous, c'est que j'ai forcément des qualités au milieu de terrain. »
Mais l'accalmie n'a pas duré plus de quelques secondes et l'ancien du Stade Rennais est illico revenu à son interprétation première de la question, de quoi amener une nouvelle précision de Vincent Duluc : « Visiblement on n'est pas les seuls... Enfin... Le sélectionneur... Tu n'es pas toujours le premier choix du sélectionneur au milieu de terrain, c'est ce que je voulais dire. » Et Eduardo Camavinga d'avoir le dernier mot : « Ah. C'est une autre question ça. En équipe de France il y a une forte concurrence et il faut l'accepter. Après, le sélectionneur fait ses choix. Sur le terrain, il faut donner son maximum. Même si pour vous ça fait un an que je suis nul (rire). Je pense que j'ai fait certains bons matchs avec l'équipe de France, sinon je ne serais pas ici. »
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