"Ce ne sera pas Zidane", la confession choc

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Zinedine Zidane n’est pas le premier choix tant attendu. Le suspense demeure…
Il aurait pu succéder à Didier Deschamps plusieurs fois déjà aux commandes de l’équipe de France. A l’issue du Mondial 2022 et de l’Euro 2024 notamment. Seulement Noël Le Graët et Philippe Diallo, les présidents de la Fédération française de football, ont toujours privilégié l’option du maintien et de la continuité, au regard des états de service du technicien bayonnais.
Zinedine Zidane en attendant doit ronger son frein, lui qui se sait destiné à diriger un jour les Bleus, après avoir tout gagné en club à la tête du Real Madrid. Cela sans pour autant en prendre ombrage, tant l’intéressé mène une vie bien remplie, sollicité ici et là en tant que figure iconique du sport français. A ce titre, l’ancien numéro 10 des champions du monde 1998 aurait pu prétendre à l’honneur suprême ce vendredi lors de la cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024. Il n’en sera rien…
« Non, non, ce ne sera pas Zidane, c’est sûr », révèle ce jeudi un Teddy Riner de passage au club France, à la Villette, pour remplir ses obligations médiatiques. "Zizou" ne sera donc pas le porteur ultime de la flamme olympique, celui qui vendredi soir sur les bords de Seine va avoir l’insigne honneur d’embraser la vasque symbolique.
« On attend l’appel… En tout cas je n’ai pas reçu d’appel, et si ça devait être le cas, ça me plairait, oui, souffle le judoka, déjà triple champion olympique. J’étais porte-drapeau en 2016, en 2024 on est à la maison, si on me le propose, je le ferais avec plaisir… » Et Teddy Riner de donner son point de vue: « Pour moi, l’essentiel c’est que ce soit un olympien. Les JO, c’est les olympiens ! » Un profil qui colle à celui de Marie-José Pérec, dont le nom revient avec insistance ces jours-ci. « J'espère avoir pris la bonne décision », confie le président du Comité d’organisation des Jeux Olympiques (COJO) Tony Estanguet.
Il aurait pu succéder à Didier Deschamps plusieurs fois déjà aux commandes de l’équipe de France. A l’issue du Mondial 2022 et de l’Euro 2024 notamment. Seulement Noël Le Graët et Philippe Diallo, les présidents de la Fédération française de football, ont toujours privilégié l’option du maintien et de la continuité, au regard des états de service du technicien bayonnais.
Zinedine Zidane en attendant doit ronger son frein, lui qui se sait destiné à diriger un jour les Bleus, après avoir tout gagné en club à la tête du Real Madrid. Cela sans pour autant en prendre ombrage, tant l’intéressé mène une vie bien remplie, sollicité ici et là en tant que figure iconique du sport français. A ce titre, l’ancien numéro 10 des champions du monde 1998 aurait pu prétendre à l’honneur suprême ce vendredi lors de la cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024. Il n’en sera rien…
Marie-José Pérec favorite
« Non, non, ce ne sera pas Zidane, c’est sûr », révèle ce jeudi un Teddy Riner de passage au club France, à la Villette, pour remplir ses obligations médiatiques. "Zizou" ne sera donc pas le porteur ultime de la flamme olympique, celui qui vendredi soir sur les bords de Seine va avoir l’insigne honneur d’embraser la vasque symbolique.
« On attend l’appel… En tout cas je n’ai pas reçu d’appel, et si ça devait être le cas, ça me plairait, oui, souffle le judoka, déjà triple champion olympique. J’étais porte-drapeau en 2016, en 2024 on est à la maison, si on me le propose, je le ferais avec plaisir… » Et Teddy Riner de donner son point de vue: « Pour moi, l’essentiel c’est que ce soit un olympien. Les JO, c’est les olympiens ! » Un profil qui colle à celui de Marie-José Pérec, dont le nom revient avec insistance ces jours-ci. « J'espère avoir pris la bonne décision », confie le président du Comité d’organisation des Jeux Olympiques (COJO) Tony Estanguet.
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