Didier Deschamps, gros jackpot au casino !

Publié le , mis à jour le
La « chatte à Dédé » semble ne pas être efficace qu’avec l’équipe de France…
La « chatte à Dédé » a fait son retour en ces premiers jours de l’Euro. Conséquence de la pluie de blessures qui s’est abattue sur certains adversaires des Bleus au premier tour de l’Euro. Tandis que les Pays-Bas devront composer sans Frenkie de Jong, Teun Koopmeiners et Marten de Roon, la Pologne, déjà privée d’Arkadiusz Milik, s’inquiète pour Robert Lewandowski.
Mais à en croire Jean-Marc Ferreri, le félidé peut se manifester en d’autres occasions. Sollicité par Le Figaro comme tous les autres vainqueurs de l’Euro pour questionner le sélectionneur tricolore, l’ancien Auxerrois s’est souvenu des visites de Didier Deschamps au casino de Cassis où, dixit le champion d’Europe 1984, le natif de Bayonne était « chanceux à la roulette ».
« Chanceux, bien sûr, s’est esclaffé l’ancien milieu de terrain. C’est vrai que j’aimais bien aller au casino, ce n’était pas jouer pour jouer, car j’ai toujours été raisonnable dans les sommes dépensées, mais j’adorais cette ambiance. » A l’en croire, cette période appartient au passé. « Moi, je suis binaire, je gagne, je suis content, je perds, je suis mécontent, car ce n’est pas une addiction, mais je n’y vais plus. »
« Je m’étais dit un jour, à partir du moment où je gagne, je ne joue plus. Ce jour-là est arrivé, je ne joue plus depuis. Je vous connais, ne me demandez pas quel jeu et combien j’ai gagné », a-t-il poursuivi, ajoutant finalement: « Ce n’était pas la roulette. C’était une machine et ça faisait du bruit. Et quand ça tombe, cela faisait beaucoup de bruit. C’était il y a très longtemps, ça remonte vraiment. »
La « chatte à Dédé » a fait son retour en ces premiers jours de l’Euro. Conséquence de la pluie de blessures qui s’est abattue sur certains adversaires des Bleus au premier tour de l’Euro. Tandis que les Pays-Bas devront composer sans Frenkie de Jong, Teun Koopmeiners et Marten de Roon, la Pologne, déjà privée d’Arkadiusz Milik, s’inquiète pour Robert Lewandowski.
Mais à en croire Jean-Marc Ferreri, le félidé peut se manifester en d’autres occasions. Sollicité par Le Figaro comme tous les autres vainqueurs de l’Euro pour questionner le sélectionneur tricolore, l’ancien Auxerrois s’est souvenu des visites de Didier Deschamps au casino de Cassis où, dixit le champion d’Europe 1984, le natif de Bayonne était « chanceux à la roulette ».
"Chanceux, bien sûr !"
« Chanceux, bien sûr, s’est esclaffé l’ancien milieu de terrain. C’est vrai que j’aimais bien aller au casino, ce n’était pas jouer pour jouer, car j’ai toujours été raisonnable dans les sommes dépensées, mais j’adorais cette ambiance. » A l’en croire, cette période appartient au passé. « Moi, je suis binaire, je gagne, je suis content, je perds, je suis mécontent, car ce n’est pas une addiction, mais je n’y vais plus. »
« Je m’étais dit un jour, à partir du moment où je gagne, je ne joue plus. Ce jour-là est arrivé, je ne joue plus depuis. Je vous connais, ne me demandez pas quel jeu et combien j’ai gagné », a-t-il poursuivi, ajoutant finalement: « Ce n’était pas la roulette. C’était une machine et ça faisait du bruit. Et quand ça tombe, cela faisait beaucoup de bruit. C’était il y a très longtemps, ça remonte vraiment. »
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