Droits TV: Le coup de théâtre !

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Le deal tant attendu quant aux droits TV de la Ligue 1pourrait être annoncé dans la soirée. Mais avec un ultime rebondissement à prévoir.
C’est le grand jour, a priori, pour les clubs de Ligue 1 qui enfin vont trancher quant à la distribution des droits TV à venir. Depuis de longs mois, la Ligue de football professionnel travaille à conclure un accord sur la base d’un contrat de cinq ans (2024-2029). Or alors que la fumée blanche commence à apparaître, ce dernier point, précisément, est remis en cause.
Selon L’Equipe, nombre de présidents de L1 souhaitent revoir la durée de ce nouveau bail à la baisse. En le limitant à deux ou trois ans. « La durée du contrat (cinq ans) bloquerait le football français dans un schéma un peu passéiste et sans garantie de succès », souligne L’Equipe. Cela faisant écho aux mots du patron de l’OL, John Textor: « Signer un accord à long terme avec des modèles de diffusion traditionnels, c’est regarder vers le passé, alors que nous devrions nous tourner vers l’avenir. Le foot français est dans l’obscurité, nous devrions y voir une opportunité pour innover et construire une plateforme qui répond aux attentes des consommateurs, c’est-à-dire un accès complet et immédiat à tous les matchs, tout le temps, partout, et sans être restreints par les intérêts des diffuseurs. »
A priori en faveur de l’option défendue par la LFP – à savoir une association avec Warner Bros Discovery pour distribuer une chaîne dédiée à la L1 pilotée par la Ligue même – le businessman américain ne serait pas majoritaire pour autant dans sa vision. A cette heure en effet, l’alternative incarnée par DAZN, avec le soutien de beIN Sports, semble tenir la corde.
A eux deux, DAZN et beIN promettent quelque 500 millions d’euros annuels aux formations de l’élite. Pas la panacée, certes, mais un minimum garanti qui convient davantage à la plupart des clubs de l’élite, déjà en quête de liquidités pour mener leur mercato et y voir plus clair dans leurs projections budgétaires. Un choix qui devrait coûter plus cher en revanche aux abonnés (près de 35 euros contre 27,99 euros pour la seconde option).
C’est le grand jour, a priori, pour les clubs de Ligue 1 qui enfin vont trancher quant à la distribution des droits TV à venir. Depuis de longs mois, la Ligue de football professionnel travaille à conclure un accord sur la base d’un contrat de cinq ans (2024-2029). Or alors que la fumée blanche commence à apparaître, ce dernier point, précisément, est remis en cause.
Selon L’Equipe, nombre de présidents de L1 souhaitent revoir la durée de ce nouveau bail à la baisse. En le limitant à deux ou trois ans. « La durée du contrat (cinq ans) bloquerait le football français dans un schéma un peu passéiste et sans garantie de succès », souligne L’Equipe. Cela faisant écho aux mots du patron de l’OL, John Textor: « Signer un accord à long terme avec des modèles de diffusion traditionnels, c’est regarder vers le passé, alors que nous devrions nous tourner vers l’avenir. Le foot français est dans l’obscurité, nous devrions y voir une opportunité pour innover et construire une plateforme qui répond aux attentes des consommateurs, c’est-à-dire un accès complet et immédiat à tous les matchs, tout le temps, partout, et sans être restreints par les intérêts des diffuseurs. »
beIN Sports aurait renversé l’opinion
A priori en faveur de l’option défendue par la LFP – à savoir une association avec Warner Bros Discovery pour distribuer une chaîne dédiée à la L1 pilotée par la Ligue même – le businessman américain ne serait pas majoritaire pour autant dans sa vision. A cette heure en effet, l’alternative incarnée par DAZN, avec le soutien de beIN Sports, semble tenir la corde.
A eux deux, DAZN et beIN promettent quelque 500 millions d’euros annuels aux formations de l’élite. Pas la panacée, certes, mais un minimum garanti qui convient davantage à la plupart des clubs de l’élite, déjà en quête de liquidités pour mener leur mercato et y voir plus clair dans leurs projections budgétaires. Un choix qui devrait coûter plus cher en revanche aux abonnés (près de 35 euros contre 27,99 euros pour la seconde option).
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