France-Argentine: Lloris lâche ses vérités sur les tirs au but
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Interrogé dans les colonnes du Parisien, Hugo Lloris est revenu sur la finale de la Coupe du monde face à l’Argentine et notamment sa séance de tirs au but.
Les Bleus sont à Clairefontaine depuis mercredi, tournés vers l’Euro 2024 en Allemagne. Et pour la première fois depuis seize ans, Hugo Lloris n’est pas de l’aventure. Le portier tricolore, exilé aux Etats-Unis depuis l’hiver dernier, a en effet mis un terme à sa carrière internationale dans la foulée de la dernière Coupe du monde. Un Mondial qui a laissé de gros regrets à l’ancien Lyonnais.
« On l’a touchée du doigt, cette victoire », a-t-il confié dans une interview accordée au Parisien à l’occasion de la sortie de son autobiographie Le monde entre mes mains. Et les regrets ont été d’autant plus grands qu’il s’agissait pour le Niçois de sa dernière aventure en équipe de France. « Je savais que ce serait la dernière. Je n’allais pas repartir pour un cycle jusqu’en 2026, alors que j’avais déjà 35 ans. »
Le scénario de la finale face à l’Argentine, perdue aux tirs au but, a évidemment participé à la détresse de l’ancien capitaine des Bleus. « Lors de ce dernier match de Coupe du monde, je n’en avais pas arrêté un seul, et ces images-là m’ont hanté plusieurs semaines, peut-être même plusieurs mois », a-t-il soufflé. Contrairement aux idées reçues, le portier tricolore avait pourtant bossé son sujet.
« Pour la séance des tirs au but, j’avais pris place dans le virage des Argentins, sous les huées, après m’être isolé un petit moment pour respirer, car j’étais fatigué. J’étais très concentré, j’avais étudié le jeu de mes adversaires, mais je savais que, à ce niveau-là, il fallait de la réussite, et pas seulement de l’expérience, du travail ou de l’intuition, a-t-il lancé. J’ai revu longtemps les ballons qui m’avaient frôlé les mains, avant de finir dans les filets. Il y en a même un que j’ai touché. »
Les Bleus sont à Clairefontaine depuis mercredi, tournés vers l’Euro 2024 en Allemagne. Et pour la première fois depuis seize ans, Hugo Lloris n’est pas de l’aventure. Le portier tricolore, exilé aux Etats-Unis depuis l’hiver dernier, a en effet mis un terme à sa carrière internationale dans la foulée de la dernière Coupe du monde. Un Mondial qui a laissé de gros regrets à l’ancien Lyonnais.
« On l’a touchée du doigt, cette victoire », a-t-il confié dans une interview accordée au Parisien à l’occasion de la sortie de son autobiographie Le monde entre mes mains. Et les regrets ont été d’autant plus grands qu’il s’agissait pour le Niçois de sa dernière aventure en équipe de France. « Je savais que ce serait la dernière. Je n’allais pas repartir pour un cycle jusqu’en 2026, alors que j’avais déjà 35 ans. »
Les gros regrets d'Hugo Lloris
Le scénario de la finale face à l’Argentine, perdue aux tirs au but, a évidemment participé à la détresse de l’ancien capitaine des Bleus. « Lors de ce dernier match de Coupe du monde, je n’en avais pas arrêté un seul, et ces images-là m’ont hanté plusieurs semaines, peut-être même plusieurs mois », a-t-il soufflé. Contrairement aux idées reçues, le portier tricolore avait pourtant bossé son sujet.
« Pour la séance des tirs au but, j’avais pris place dans le virage des Argentins, sous les huées, après m’être isolé un petit moment pour respirer, car j’étais fatigué. J’étais très concentré, j’avais étudié le jeu de mes adversaires, mais je savais que, à ce niveau-là, il fallait de la réussite, et pas seulement de l’expérience, du travail ou de l’intuition, a-t-il lancé. J’ai revu longtemps les ballons qui m’avaient frôlé les mains, avant de finir dans les filets. Il y en a même un que j’ai touché. »
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