Grosse désillusion pour le PSG
Publié le , mis à jour le
Très discret pour l’heure sur le marché des transferts, le PSG ne verra sans doute pas débarquer à l’intersaison sa cible prioritaire.
Le mercato parisien n’est pas encore lancé. A sa décharge, le PSG certes n’a pas encore repris l’entraînement – nombre de ses joueurs ayant été concernés ces derniers jours par les échéances continentales que sont l’Euro et la Copa America 2024. Mais l’impatience pourrait grandir très vite alors que le club de la capitale accuse déjà une certitude à ses dépens: le départ de Kylian Mbappé.
Offensivement bien sûr, le PSG ne se retrouve pas démuni pour autant, ne manquant pas de ressources pour pallier l’envol de sa star au profit du Real Madrid. Mais les solutions de rechange sur le marché se font rares et chères. Parmi les priorités érigées par le tandem Luis Campos-Luis Enrique, Khvicha Kvaratskhelia faisait figure de belle alternative. En vain a priori.
Encore apparu à son avantage cet été durant l’Euro avec la Géorgie, le joueur du Napoli est jugé intransférable ou presque par le président De Laurentiis. Sauf à miser un tarif prohibitif de 120 millions d’euros a minima. Même chose pour le défenseur Giovanni Di Lorenzo – deux éléments que le nouveau coach des Partenopei, Antonio Conte, entend verrouiller lui aussi: « Le président m’a promis qu’ils resteraient et c’est ce qu’ils ont fait. Le mérite revient au club. Il s’agit de deux bons éléments. »
Ce samedi en conférence de presse, l’ancien sélectionneur de l’Italie a allègrement insisté sur sa foi dans le protégé de Willy Sagnol: « Nous allons essayer de mettre en valeur les caractéristiques de nos joueurs, en donnant de l'espace à la qualité de joueurs comme Kvara et Politano. » Cette semaine, l’agent du Géorgien a lui aussi jeté un froid dans le dossier quant à l’intérêt des Parisiens: « Son avenir dépend du président de Naples. S’il veut vendre Kvara, il partira. S’il veut offrir un nouveau contrat, Kvara prolongera. »
Le mercato parisien n’est pas encore lancé. A sa décharge, le PSG certes n’a pas encore repris l’entraînement – nombre de ses joueurs ayant été concernés ces derniers jours par les échéances continentales que sont l’Euro et la Copa America 2024. Mais l’impatience pourrait grandir très vite alors que le club de la capitale accuse déjà une certitude à ses dépens: le départ de Kylian Mbappé.
Offensivement bien sûr, le PSG ne se retrouve pas démuni pour autant, ne manquant pas de ressources pour pallier l’envol de sa star au profit du Real Madrid. Mais les solutions de rechange sur le marché se font rares et chères. Parmi les priorités érigées par le tandem Luis Campos-Luis Enrique, Khvicha Kvaratskhelia faisait figure de belle alternative. En vain a priori.
Conte compte sur lui
Encore apparu à son avantage cet été durant l’Euro avec la Géorgie, le joueur du Napoli est jugé intransférable ou presque par le président De Laurentiis. Sauf à miser un tarif prohibitif de 120 millions d’euros a minima. Même chose pour le défenseur Giovanni Di Lorenzo – deux éléments que le nouveau coach des Partenopei, Antonio Conte, entend verrouiller lui aussi: « Le président m’a promis qu’ils resteraient et c’est ce qu’ils ont fait. Le mérite revient au club. Il s’agit de deux bons éléments. »
Ce samedi en conférence de presse, l’ancien sélectionneur de l’Italie a allègrement insisté sur sa foi dans le protégé de Willy Sagnol: « Nous allons essayer de mettre en valeur les caractéristiques de nos joueurs, en donnant de l'espace à la qualité de joueurs comme Kvara et Politano. » Cette semaine, l’agent du Géorgien a lui aussi jeté un froid dans le dossier quant à l’intérêt des Parisiens: « Son avenir dépend du président de Naples. S’il veut vendre Kvara, il partira. S’il veut offrir un nouveau contrat, Kvara prolongera. »
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