Kroos pointe "l’immigration massive" en Allemagne
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L’international allemand Toni Kroos dans un podcast déplore l’évolution de la société allemande. Un déclin selon lui qu’il attribue à « l’immigration massive ».
Alors que la France se déchire dans le cadre des élections législatives, le débat divise également en Allemagne. Et sur le Vieux continent dans son ensemble. Comment souvent dans un contexte de crise, les populismes ou nationalismes progressent – l’immigration dès lors endossant le rôle de bouc-émissaire. Parfois même dans l’esprit des élites.
Toni Kroos est de celles-ci, lui qui tout récemment s’est décidé à clore le chapitre sportif de sa carrière, après dix années au sommet dans les rangs du Real Madrid. L’ancien joueur du Bayern estime ainsi que l’Allemagne a changé depuis son départ pour l’Espagne en 2024. Et pas en bien. « L’Allemagne n’est plus le pays qu’il était il y a 10 ans. Que ce soit en 2006 ou aujourd’hui, de nombreuses personnes ont été accueillies à bras ouverts. Je trouve cela sensationnel. Je pense vraiment que c’est formidable, mais je crois que c’était trop incontrôlé », soufflet-il dans un podcast de la chaîne allemande ZDF.
« Je pense que nous n’avons pas réussi à exploiter cette approche ou cette idée fondamentalement très positive, que je soutiens à mille pour cent parce que je trouve sensationnel que des gens viennent chez nous de l’extérieur et qu’ils soient heureux, poursuit-il. Je pense que nous l’avons tout simplement sous-estimée et qu’en fin de compte, elle était tout simplement trop incontrôlée. Et il est clair que lorsque beaucoup de gens viennent, il y a toujours un pourcentage, tout comme parmi les Allemands, parmi beaucoup d’Allemands, il y a aussi un pourcentage qui ne nous fait pas de bien et qui ne se fait pas de bien à lui-même. Et c’est la même chose avec beaucoup de gens qui viennent. »
Au fil de sa réflexion, Toni Kroos en vient à faire un lien clair selon lui entre « immigration massive » et insécurité. « Si vous ne pouvez pas distinguer ceux qui ne nous font pas de bien, alors cela devient difficile à la fin. Et bien sûr, l’attitude des Allemands sera toujours plus divisée sur cette question, même si l’idée fondamentale que des gens viennent, dont nous avons évidemment aussi besoin, qu’ils soient ici, est étonnante et bonne ». Et d’affirmer vouloir vivre en Espagne car tiraillé par « la peur de voir (s)a fille sortir après 23h dans une grande ville allemande ».
Alors que la France se déchire dans le cadre des élections législatives, le débat divise également en Allemagne. Et sur le Vieux continent dans son ensemble. Comment souvent dans un contexte de crise, les populismes ou nationalismes progressent – l’immigration dès lors endossant le rôle de bouc-émissaire. Parfois même dans l’esprit des élites.
Toni Kroos est de celles-ci, lui qui tout récemment s’est décidé à clore le chapitre sportif de sa carrière, après dix années au sommet dans les rangs du Real Madrid. L’ancien joueur du Bayern estime ainsi que l’Allemagne a changé depuis son départ pour l’Espagne en 2024. Et pas en bien. « L’Allemagne n’est plus le pays qu’il était il y a 10 ans. Que ce soit en 2006 ou aujourd’hui, de nombreuses personnes ont été accueillies à bras ouverts. Je trouve cela sensationnel. Je pense vraiment que c’est formidable, mais je crois que c’était trop incontrôlé », soufflet-il dans un podcast de la chaîne allemande ZDF.
« Les Allemands toujours plus divisés sur cette question »
« Je pense que nous n’avons pas réussi à exploiter cette approche ou cette idée fondamentalement très positive, que je soutiens à mille pour cent parce que je trouve sensationnel que des gens viennent chez nous de l’extérieur et qu’ils soient heureux, poursuit-il. Je pense que nous l’avons tout simplement sous-estimée et qu’en fin de compte, elle était tout simplement trop incontrôlée. Et il est clair que lorsque beaucoup de gens viennent, il y a toujours un pourcentage, tout comme parmi les Allemands, parmi beaucoup d’Allemands, il y a aussi un pourcentage qui ne nous fait pas de bien et qui ne se fait pas de bien à lui-même. Et c’est la même chose avec beaucoup de gens qui viennent. »
Au fil de sa réflexion, Toni Kroos en vient à faire un lien clair selon lui entre « immigration massive » et insécurité. « Si vous ne pouvez pas distinguer ceux qui ne nous font pas de bien, alors cela devient difficile à la fin. Et bien sûr, l’attitude des Allemands sera toujours plus divisée sur cette question, même si l’idée fondamentale que des gens viennent, dont nous avons évidemment aussi besoin, qu’ils soient ici, est étonnante et bonne ». Et d’affirmer vouloir vivre en Espagne car tiraillé par « la peur de voir (s)a fille sortir après 23h dans une grande ville allemande ».
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