Le gros coup de gueule de Luis Enrique
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Auteurs d’une première période calamiteuse, dimanche, sur la pelouse de l’OGC Nice, les Parisiens ont provoqué la colère de Luis Enrique.
Quatre jours après sa triste prestation face à Arsenal en Ligue des champions, le PSG ne s’est pas rassuré, dimanche, à Nice, concédant le match nul (1-1). La faute à une première période jouée à l’envers. Et si malgré plusieurs grosses occasions, les Aiglons ont finalement dû attendre la 40e minute pour ouvrir le score, les hommes de Luis Enrique, qui avaient certes la possession, s’en tiraient même à bon compte en étant menés que 1-0 à la pause.
Les Parisiens s’étaient montrés particulièrement brouillons au cours de ces 45 minutes, ce que n’a pas manqué de pointer du doigt Luis Enrique à l’issue de la rencontre. « Il y a eu un niveau d'imprécision qui n'est pas habituel chez la plupart des joueurs, sur des choses asses faciles qu'on réussit d'habitude. Là, on a eu un niveau d'erreurs très élevé », a-t-il ainsi déploré en conférence de presse.
Luis Enrique a fait trembler les murs à la pause, ne ménageant pas ses joueurs. Surtout, il n’a pas hésité à sortir Randal Kolo Muani, titularisé à la pointe de l’attaque parisienne aux côtés de Bradley Barcola et Ousmane Dembélé, pour lancer Lee Kang-In dans un rôle de faux 9. Avec une certaine réussite puisque le PSG a montré un tout autre visage à la pause, égalisant très vite et continuant à se montrer bien plus dangereux par la suite.
Mais à en croire Luis Enrique, Randal Kolo Muani n’était pas le seul joueur à mériter de sortir. « A la pause, j’aurais pu parfaitement faire cinq changements. Sans problème. Cinq joueurs auraient très bien pu sortir, mais je n’en ai fait qu’un et c'était celui-ci », a-t-il soufflé, disant sa satisfaction du visage affiché après la pause : « Je suis fier qu'après une mauvaise première mi-temps, j'insiste mauvaise, mes joueurs aient maintenu un état d'esprit positif. »
Quatre jours après sa triste prestation face à Arsenal en Ligue des champions, le PSG ne s’est pas rassuré, dimanche, à Nice, concédant le match nul (1-1). La faute à une première période jouée à l’envers. Et si malgré plusieurs grosses occasions, les Aiglons ont finalement dû attendre la 40e minute pour ouvrir le score, les hommes de Luis Enrique, qui avaient certes la possession, s’en tiraient même à bon compte en étant menés que 1-0 à la pause.
Les Parisiens s’étaient montrés particulièrement brouillons au cours de ces 45 minutes, ce que n’a pas manqué de pointer du doigt Luis Enrique à l’issue de la rencontre. « Il y a eu un niveau d'imprécision qui n'est pas habituel chez la plupart des joueurs, sur des choses asses faciles qu'on réussit d'habitude. Là, on a eu un niveau d'erreurs très élevé », a-t-il ainsi déploré en conférence de presse.
Luis Enrique a aimé le visage de la seconde période
Luis Enrique a fait trembler les murs à la pause, ne ménageant pas ses joueurs. Surtout, il n’a pas hésité à sortir Randal Kolo Muani, titularisé à la pointe de l’attaque parisienne aux côtés de Bradley Barcola et Ousmane Dembélé, pour lancer Lee Kang-In dans un rôle de faux 9. Avec une certaine réussite puisque le PSG a montré un tout autre visage à la pause, égalisant très vite et continuant à se montrer bien plus dangereux par la suite.
Mais à en croire Luis Enrique, Randal Kolo Muani n’était pas le seul joueur à mériter de sortir. « A la pause, j’aurais pu parfaitement faire cinq changements. Sans problème. Cinq joueurs auraient très bien pu sortir, mais je n’en ai fait qu’un et c'était celui-ci », a-t-il soufflé, disant sa satisfaction du visage affiché après la pause : « Je suis fier qu'après une mauvaise première mi-temps, j'insiste mauvaise, mes joueurs aient maintenu un état d'esprit positif. »
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