Le PSG a-t-il faussé le championnat ?
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La question a émergé sur les réseaux sociaux dimanche soir au vu du scénario rocambolesque de la dernière journée de Ligue 1.
Le PSG aurait eu une influence bien trop grande sur le verdict du maintien selon certains observateurs qui, à l’issue de la 34e et dernière journée de Ligue 1, se sont indignés face à la possible suffisance de l’équipe dirigée par Luis Enrique. Pour sa dernière sortie en championnat, Paris pourtant a bel et bien gagné à Metz (0-2). Un résultat qui conjugué avec le carton de Lorient devant Clermont (5-0) a bien failli précipiter les Grenats en Ligue 2.
Oui mais voilà, si les Lorientais à la faveur de ces scores ont refait les trois points et sept buts de retard qu’ils avaient sur leurs homologues mosellans, il aura manqué une ultime réalisation, dans un match comme dans l’autre, pour permettre aux Bretons de coiffer au poteau les Lorrains dans la course au ticket de barragiste. Lorient, in fine, demeurant devancé par Metz au nombre de victoires (8 contre 7) et de buts marqués à l’extérieur dans les confrontations directes (2-3 pour les Grenats au Moustoir ; 1-2 pour les Merlus à Saint-Symphorien).
A la lueur de ces données, les détracteurs du PSG se disent qu’avec une formation parisienne un peu plus conquérante contre les Messins, les Lorientais auraient sans doute obtenu un sursis. Laissés libres par le club de la capitale et en goguette du côté de Cannes, Kylian Mbappé et Ousmane Dembélé ont manqué à l’appel en effet. Quant à Achraf Hakimi, Warren Zaïre-Emery et Bradley Barcola, ils ne sont tout simplement pas entrés en jeu.
A la décharge de Paris, Carlos Soler et Kang-In Lee ont rapidement fait le nécessaire, frappant dès le premier quart d’heure ; Gonçalo Ramos ayant lui manqué de précision, Nordi Mukiele ayant sonné la barre transversale et Alexandre Oukidja, le portier lorrain, ayant réalisé des prouesses dans sa cage. Sans cela, le PSG aurait pu s’imposer plus largement il est vrai. Mais ce n’est pas faute d’envie et de détermination. « Le miracle n'est pas passé loin, c'est très dur et cruel que ça se termine comme ça, mais ce n'est pas ce soir qu'on aura les plus grands regrets et que le maintien s'est joué », admettait le président du FC Lorient Loïc Féry, dimanche devant la presse.
Le PSG aurait eu une influence bien trop grande sur le verdict du maintien selon certains observateurs qui, à l’issue de la 34e et dernière journée de Ligue 1, se sont indignés face à la possible suffisance de l’équipe dirigée par Luis Enrique. Pour sa dernière sortie en championnat, Paris pourtant a bel et bien gagné à Metz (0-2). Un résultat qui conjugué avec le carton de Lorient devant Clermont (5-0) a bien failli précipiter les Grenats en Ligue 2.
Oui mais voilà, si les Lorientais à la faveur de ces scores ont refait les trois points et sept buts de retard qu’ils avaient sur leurs homologues mosellans, il aura manqué une ultime réalisation, dans un match comme dans l’autre, pour permettre aux Bretons de coiffer au poteau les Lorrains dans la course au ticket de barragiste. Lorient, in fine, demeurant devancé par Metz au nombre de victoires (8 contre 7) et de buts marqués à l’extérieur dans les confrontations directes (2-3 pour les Grenats au Moustoir ; 1-2 pour les Merlus à Saint-Symphorien).
Mbappé et Dembélé en goguette à Cannes
A la lueur de ces données, les détracteurs du PSG se disent qu’avec une formation parisienne un peu plus conquérante contre les Messins, les Lorientais auraient sans doute obtenu un sursis. Laissés libres par le club de la capitale et en goguette du côté de Cannes, Kylian Mbappé et Ousmane Dembélé ont manqué à l’appel en effet. Quant à Achraf Hakimi, Warren Zaïre-Emery et Bradley Barcola, ils ne sont tout simplement pas entrés en jeu.
A la décharge de Paris, Carlos Soler et Kang-In Lee ont rapidement fait le nécessaire, frappant dès le premier quart d’heure ; Gonçalo Ramos ayant lui manqué de précision, Nordi Mukiele ayant sonné la barre transversale et Alexandre Oukidja, le portier lorrain, ayant réalisé des prouesses dans sa cage. Sans cela, le PSG aurait pu s’imposer plus largement il est vrai. Mais ce n’est pas faute d’envie et de détermination. « Le miracle n'est pas passé loin, c'est très dur et cruel que ça se termine comme ça, mais ce n'est pas ce soir qu'on aura les plus grands regrets et que le maintien s'est joué », admettait le président du FC Lorient Loïc Féry, dimanche devant la presse.
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