Les Bleus ne parlent pas politique

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Arrivés en Allemagne ce mercredi pour prendre part à l’Euro 2024, les Bleus restent dans leur bulle, bien loin des remous de la politique française.
Les résultats des Européennes et la dissolution de l’Assemblée nationale qui s’en est suivie, très peu pour les Bleus… Déjà focalisés sur l’Euro 2024 qu’ils s’apprêtent à disputer, les hommes de Didier Deschamps, arrivés en Allemagne ce mercredi pour prendre leurs quartiers à Bad Lippspringe, entre Dortmund et Hanovre, semblent vouloir rester hermétiques au séisme politique qui a secoué la France dimanche soir.
La dissolution camérale décrétée par le président de la République Emmanuel Macron, « on n’en a pas parlé », avoue Kingsley Coman, ce mercredi en conférence de presse. « On a dit entre nous qu'on avait une compétition à préparer qui concerne le football. On essaie de garder notre concentration sur le football… »
Même son de cloche du côté de Dayot Upamecano, autre membre du collectif tricolore à avoir répondu aux obligations médiatiques ce jour. « Aujourd'hui, je ne suis pas venu pour parler de ça, je préfère parler de football », dixit le défenseur du Bayern. L’actualité politique et l’Euro des Bleus pourraient bien s’entrechoquer néanmoins.
Si les coéquipiers de Kylian Mbappé, opposés à l’Autriche (le 17 juin), aux Pays-Bas (le 21 juin) et à la Pologne (le 25 juin) lors de la première phase de la compétition, venaient à terminer troisièmes de leur poule, alors le calendrier de l’Euro pourrait leur réserver un huitième de finale en pleine soirée du premier tour des élections législatives programmées le dimanche 30 juin. Avec la priorité que l’on sait.
Les résultats des Européennes et la dissolution de l’Assemblée nationale qui s’en est suivie, très peu pour les Bleus… Déjà focalisés sur l’Euro 2024 qu’ils s’apprêtent à disputer, les hommes de Didier Deschamps, arrivés en Allemagne ce mercredi pour prendre leurs quartiers à Bad Lippspringe, entre Dortmund et Hanovre, semblent vouloir rester hermétiques au séisme politique qui a secoué la France dimanche soir.
La dissolution camérale décrétée par le président de la République Emmanuel Macron, « on n’en a pas parlé », avoue Kingsley Coman, ce mercredi en conférence de presse. « On a dit entre nous qu'on avait une compétition à préparer qui concerne le football. On essaie de garder notre concentration sur le football… »
« Je préfère parler de football »
Même son de cloche du côté de Dayot Upamecano, autre membre du collectif tricolore à avoir répondu aux obligations médiatiques ce jour. « Aujourd'hui, je ne suis pas venu pour parler de ça, je préfère parler de football », dixit le défenseur du Bayern. L’actualité politique et l’Euro des Bleus pourraient bien s’entrechoquer néanmoins.
Si les coéquipiers de Kylian Mbappé, opposés à l’Autriche (le 17 juin), aux Pays-Bas (le 21 juin) et à la Pologne (le 25 juin) lors de la première phase de la compétition, venaient à terminer troisièmes de leur poule, alors le calendrier de l’Euro pourrait leur réserver un huitième de finale en pleine soirée du premier tour des élections législatives programmées le dimanche 30 juin. Avec la priorité que l’on sait.
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