L’Europe fuit l’OM
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L’OM s’est incliné à Reims ce mercredi en match en retard de la 32e levée de Ligue 1 (1-0). Une défaite de plus à l’extérieur qui met certainement un terme aux ambitions européennes des Marseillais.
Cette saison, il n’y a guère que Clermont – d’ores et déjà condamné à la relégation - pour voyager plus mal encore que l’OM. Avec deux déplacements à négocier pour clore une saison calamiteuse longtemps sauvée par un parcours européen miraculeux, les Marseillais devaient impérativement forcer leur nature ce mercredi soir à Reims. Celle d’une équipe capable du meilleur dans son antre du Vélodrome et du pire, décidément, loin de ses bases.
Seule formation du championnat à ne pas avoir su garder sa cage inviolée une fois au moins à l’extérieur, le collectif phocéen en Champagne n’a pas dérogé à cette triste règle, rapidement surpris par un Munetsi percutant (5e). Un coup de froid devant le parcage visiteurs aux allures pourtant d’avertissement sans frais – hors-jeu oblige. Las pour Jean-Louis Gasset, ses joueurs n’ont pas noté la leçon. Peu après la demi-heure de jeu, le virevoltant Ito trouvait… Mbemba dans la surface, à bout portant, pour l’ouverture du score contre son camp du malheureux défenseur congolais. En faveur des Rémois (1-0, 33e).
Certes dominateurs dans les débats et moins attentistes que leurs hôtes, les Olympiens se révélaient impuissants toutefois à l’approche du but adverse. Une fâcheuse tendance en terre hostile. Par le biais de contres tranchants, le Stade de Reims a contrario parvenait à se montrer menaçant, manquant le break à plusieurs reprises, par Nakamura (38e, 48e), Khadra (49e, 67e) et Bojang (79e). Et l’OM dans tout ça ? Pas grand-chose de concret si ce n’est deux belles opportunités et autant de duels perdus par Sarr (25e) et Luis Henrique (70e) face à Diouf.
Malade et diminué depuis le déplacement à Bergame, le talisman Aubameyang, crédité de 29 réalisations cette saison, n’a pas pu peser comme il se doit. Et les Marseillais de tomber sans gloire encore une fois. Une fois de trop probablement pour prétendre à l’Europe d’ici la fin de championnat et une journée ultime qui les verra se déplacer au Havre tandis que leurs rivaux pour lyonnais et lensois pour les derniers tickets continentaux potentiels accueilleront respectivement Strasbourg et Montpellier. Pour Reims, qui n’avait plus gagné en L1 depuis deux mois, la première partie de tableau entre à nouveau dans le champ des possibles.
Cette saison, il n’y a guère que Clermont – d’ores et déjà condamné à la relégation - pour voyager plus mal encore que l’OM. Avec deux déplacements à négocier pour clore une saison calamiteuse longtemps sauvée par un parcours européen miraculeux, les Marseillais devaient impérativement forcer leur nature ce mercredi soir à Reims. Celle d’une équipe capable du meilleur dans son antre du Vélodrome et du pire, décidément, loin de ses bases.
Seule formation du championnat à ne pas avoir su garder sa cage inviolée une fois au moins à l’extérieur, le collectif phocéen en Champagne n’a pas dérogé à cette triste règle, rapidement surpris par un Munetsi percutant (5e). Un coup de froid devant le parcage visiteurs aux allures pourtant d’avertissement sans frais – hors-jeu oblige. Las pour Jean-Louis Gasset, ses joueurs n’ont pas noté la leçon. Peu après la demi-heure de jeu, le virevoltant Ito trouvait… Mbemba dans la surface, à bout portant, pour l’ouverture du score contre son camp du malheureux défenseur congolais. En faveur des Rémois (1-0, 33e).
Aubameyang impuissant
Certes dominateurs dans les débats et moins attentistes que leurs hôtes, les Olympiens se révélaient impuissants toutefois à l’approche du but adverse. Une fâcheuse tendance en terre hostile. Par le biais de contres tranchants, le Stade de Reims a contrario parvenait à se montrer menaçant, manquant le break à plusieurs reprises, par Nakamura (38e, 48e), Khadra (49e, 67e) et Bojang (79e). Et l’OM dans tout ça ? Pas grand-chose de concret si ce n’est deux belles opportunités et autant de duels perdus par Sarr (25e) et Luis Henrique (70e) face à Diouf.
Malade et diminué depuis le déplacement à Bergame, le talisman Aubameyang, crédité de 29 réalisations cette saison, n’a pas pu peser comme il se doit. Et les Marseillais de tomber sans gloire encore une fois. Une fois de trop probablement pour prétendre à l’Europe d’ici la fin de championnat et une journée ultime qui les verra se déplacer au Havre tandis que leurs rivaux pour lyonnais et lensois pour les derniers tickets continentaux potentiels accueilleront respectivement Strasbourg et Montpellier. Pour Reims, qui n’avait plus gagné en L1 depuis deux mois, la première partie de tableau entre à nouveau dans le champ des possibles.
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