MU ralentit encore Arsenal

Publié le , mis à jour le
Arsenal a 15 points de retard sur Liverpool à 9 journées de la fin, après son match nul (1-1) à Old Trafford contre Manchester United.
A défaut d'avoir remporté cette affiche de prestige, Manchester United aura au moins eu le plaisir, sauf cataclysme, de tuer les derniers espoirs de titre d'Arsenal. Dimanche, en clôture de la 28e journée de Premier League, les Gunners ont été accrochés (1-1) à Old Trafford et accusent un retard de 15 points sur Liverpool à 9 journées de la fin.
Sans proposer grand chose dans le jeu mais en faisant bloc et en tentant d'exploiter des contres, les Red Devils sont rentrés au vestiaire avec l'avantage. C'est Bruno Fernandes, sur un coup franc superbement enroulé et déposé au fond des filets de David Raya, pas très bien placé, qui déclenchait la clameur d'Old Trafford (1-0, 45e+2). Les Mancuniens, qui ne jouent rien d'autre que la préservation de leur honneur dans cette fin de championnat, auraient pu doubler la mise si Raya n'avait pas réalisé deux arrêts miraculeux en deuxième période, d'abord face à Mazraoui du bout du pied, puis dans les arrêts de jeu et en deux temps sur une frappe à bout portant de Bruno Fernandes.
MU aurait aussi pu arracher la victoire si Rice n'avait pas héroïquement taclé Hojlund en fin de partie (85e) alors que le Danois s'apprêtait à défier le portier espagnol. Néanmoins, à force de reculer et de se désintéresser provisoirement de la chose offensive lors du second acte, Manchester s'est tiré une balle dans le pied. Acculés à l'orée du dernier quart d'heure, les joueurs de Ruben Amorim ont craqué sur une frappe placée sans contrôle de Declan Rice, avec poteau rentrant, depuis l'entrée de la surface, après un service de Jurrien Timber (1-1, 74e).
C'est néanmoins sur ce genre de prestation qu'espère pouvoir travailler Amorim pour préparer la saison prochaine. S'il s'est plaint de ne pouvoir jouir d'autant de temps que son homologue des Gunners Mikel Arteta, il y a de bonnes chances que le front office de Manchester United lui laisse le loisir de construire l'équipe avec une touche un peu plus personnelle la saison prochaine.
A défaut d'avoir remporté cette affiche de prestige, Manchester United aura au moins eu le plaisir, sauf cataclysme, de tuer les derniers espoirs de titre d'Arsenal. Dimanche, en clôture de la 28e journée de Premier League, les Gunners ont été accrochés (1-1) à Old Trafford et accusent un retard de 15 points sur Liverpool à 9 journées de la fin.
Sans proposer grand chose dans le jeu mais en faisant bloc et en tentant d'exploiter des contres, les Red Devils sont rentrés au vestiaire avec l'avantage. C'est Bruno Fernandes, sur un coup franc superbement enroulé et déposé au fond des filets de David Raya, pas très bien placé, qui déclenchait la clameur d'Old Trafford (1-0, 45e+2). Les Mancuniens, qui ne jouent rien d'autre que la préservation de leur honneur dans cette fin de championnat, auraient pu doubler la mise si Raya n'avait pas réalisé deux arrêts miraculeux en deuxième période, d'abord face à Mazraoui du bout du pied, puis dans les arrêts de jeu et en deux temps sur une frappe à bout portant de Bruno Fernandes.
Rice douche Old Trafford
MU aurait aussi pu arracher la victoire si Rice n'avait pas héroïquement taclé Hojlund en fin de partie (85e) alors que le Danois s'apprêtait à défier le portier espagnol. Néanmoins, à force de reculer et de se désintéresser provisoirement de la chose offensive lors du second acte, Manchester s'est tiré une balle dans le pied. Acculés à l'orée du dernier quart d'heure, les joueurs de Ruben Amorim ont craqué sur une frappe placée sans contrôle de Declan Rice, avec poteau rentrant, depuis l'entrée de la surface, après un service de Jurrien Timber (1-1, 74e).
C'est néanmoins sur ce genre de prestation qu'espère pouvoir travailler Amorim pour préparer la saison prochaine. S'il s'est plaint de ne pouvoir jouir d'autant de temps que son homologue des Gunners Mikel Arteta, il y a de bonnes chances que le front office de Manchester United lui laisse le loisir de construire l'équipe avec une touche un peu plus personnelle la saison prochaine.
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