PSG, catastrophe en vue ?
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Grand favori de sa double confrontation face à Aston Villa en quarts de finale de la Ligue des champions, le PSG s’expose à un « accident industriel » en cas d’élimination, selon Samir Nasri.
Impressionnant bourreau de Liverpool en huitièmes de finale de la Ligue des champions, le PSG a marqué les esprits. A tel point qu’il compte désormais parmi les principaux favoris à la victoire finale. A en croire le statisticien Opta, le club de la capitale a ainsi près de 20% de chances d’être sacré, le 31 mai prochain, et n’est devancé que par le Barça.
Son quart de finale face à Aston Villa apparaît même pour certains comme une simple formalité pour les troupes de Luis Enrique. En cas de contre-performance contre le septième de Premier League, les champions de France s’exposeraient donc à un très violent retour de bâton.
https://x.com/sports_fr/status/1909867911922991334
« Contre Aston Villa, tu es favori. Contre Liverpool, tu étais outsider. C'est beaucoup plus facile quand tu es outsider que favori. Surtout que là, si ça se passe mal pour le PSG, ça sera un accident industriel, tout le monde va lui tomber dessus », a ainsi prévenu Samir Nasri dans les colonnes de L’Equipe, l’ancien Gunner n’en étant pas moins très élogieux avec les Parisiens.
« Je trouve ce PSG très impressionnant à la perte de balle, a-t-il confié. L'agressivité, la façon de récupérer le ballon très vite, très haut... J'ai joué contre le Barça de Luis Enrique, qui pouvait marquer n'importe quand avec Messi, Neymar et Suarez. Et je trouve que collectivement, le PSG dégage une plus grosse puissance encore. J'aime aussi son jeu de position, avec des joueurs dont tu te demandes tout d'un coup ce qu'ils font là, alors que tout est calculé. Je suis admiratif de ce qu'ils font. »
Et l’ancien milieu de terrain n’est pas le seul à être impressionné. Il en est de même de Youri Djorkaeff. « Ils sont bien en place, chacun connaît sa position, ce qu'il a à faire, a-t-il souligné. Beaucoup de joueurs m'ont surpris techniquement. Dembélé, on savait qu'il était fort, Barcola, Doué... On ne note pas assez combien ils sont forts techniquement. On parle beaucoup des replacements, du travail collectif... Mais techniquement c'est très, très fort. »
Impressionnant bourreau de Liverpool en huitièmes de finale de la Ligue des champions, le PSG a marqué les esprits. A tel point qu’il compte désormais parmi les principaux favoris à la victoire finale. A en croire le statisticien Opta, le club de la capitale a ainsi près de 20% de chances d’être sacré, le 31 mai prochain, et n’est devancé que par le Barça.
Son quart de finale face à Aston Villa apparaît même pour certains comme une simple formalité pour les troupes de Luis Enrique. En cas de contre-performance contre le septième de Premier League, les champions de France s’exposeraient donc à un très violent retour de bâton.
https://x.com/sports_fr/status/1909867911922991334
« Contre Aston Villa, tu es favori. Contre Liverpool, tu étais outsider. C'est beaucoup plus facile quand tu es outsider que favori. Surtout que là, si ça se passe mal pour le PSG, ça sera un accident industriel, tout le monde va lui tomber dessus », a ainsi prévenu Samir Nasri dans les colonnes de L’Equipe, l’ancien Gunner n’en étant pas moins très élogieux avec les Parisiens.
Le PSG a impressionné Samir Nasri
« Je trouve ce PSG très impressionnant à la perte de balle, a-t-il confié. L'agressivité, la façon de récupérer le ballon très vite, très haut... J'ai joué contre le Barça de Luis Enrique, qui pouvait marquer n'importe quand avec Messi, Neymar et Suarez. Et je trouve que collectivement, le PSG dégage une plus grosse puissance encore. J'aime aussi son jeu de position, avec des joueurs dont tu te demandes tout d'un coup ce qu'ils font là, alors que tout est calculé. Je suis admiratif de ce qu'ils font. »
Et l’ancien milieu de terrain n’est pas le seul à être impressionné. Il en est de même de Youri Djorkaeff. « Ils sont bien en place, chacun connaît sa position, ce qu'il a à faire, a-t-il souligné. Beaucoup de joueurs m'ont surpris techniquement. Dembélé, on savait qu'il était fort, Barcola, Doué... On ne note pas assez combien ils sont forts techniquement. On parle beaucoup des replacements, du travail collectif... Mais techniquement c'est très, très fort. »
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