PSG: Les accusations de Luis Enrique
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A la veille d’un match important contre l’OL, Luis Enrique, le coach du PSG, a encore réglé des comptes ce samedi en conférence de presse.
Luis Enrique a un rapport très particulier à la presse – à la limite de la relation conflictuelle – et cela s’est encore vérifié ce samedi alors que les Parisiens doivent accueillir les Lyonnais dimanche soir en clôture de la 15e journée de Ligue 1. Face aux médias, le technicien espagnol a encore exprimé sa rancœur.
« Sur le plan statistique, c'est la meilleure saison de ma carrière, juge-t-il dans un postulat plus ou moins contestable. Il y a eu des critiques - des mensonges même parfois – de la part des journalistes, pas des supporters, mais je suis satisfait de cette saison. J'ai entendu en début de saison que nous n'avions même pas le meilleur effectif de France. Et pourtant, les choses se mettent en place doucement. Avec bien sûr, nos difficultés en Ligue des champions, mais je répète, je suis satisfait de cette saison. La meilleure de ma carrière. »
Après six journées sur huit en Ligue des champions, le PSG demeure classé au-delà du top 24 qualificatif pour la seconde phase de la compétition. « Qui cela intéresse-t-il que ce soit mérité ou pas ? Ce n'est important pour personne. C'est notre classement, c'est la réalité, nous l'acceptons, nous pensons simplement à retourner la situation. Le reste n'intéresse personne », pique le stratège ibère, manifestement agacé que la situation continentale du club lui soit systématiquement rappelée.
Pour rectifier le tir, sur la phase initiale de la C1, le PSG ne pourra pas compter sur le mercato mais ce dernier levier ne sera assurément pas négligé. « Nous sommes préparés pour toutes les opportunités du mercato mais c'est toujours difficile d'améliorer cet effectif, souffle Luis Enrique. Le mercato de janvier est toujours difficile, mais je répète que j'ai confiance en mes joueurs. Que ceux qui jouent peu puissent entrer dans la rotation. »
Et d’évoquer le cas d’un Ousmane Dembélé en perte de vitesse, sans se montrer franchement rassurant ou bienveillant. « J'ai la même relation avec tous les joueurs. Je suis l'entraîneur. Pas leur père, leur frère, leur "bro"... Je dois prendre des décisions et je prends celles que je pense être les meilleures pour mon équipe. Je ne vais pas changer, je l'ai fait depuis le début de ma carrière... »
Luis Enrique a un rapport très particulier à la presse – à la limite de la relation conflictuelle – et cela s’est encore vérifié ce samedi alors que les Parisiens doivent accueillir les Lyonnais dimanche soir en clôture de la 15e journée de Ligue 1. Face aux médias, le technicien espagnol a encore exprimé sa rancœur.
« Sur le plan statistique, c'est la meilleure saison de ma carrière, juge-t-il dans un postulat plus ou moins contestable. Il y a eu des critiques - des mensonges même parfois – de la part des journalistes, pas des supporters, mais je suis satisfait de cette saison. J'ai entendu en début de saison que nous n'avions même pas le meilleur effectif de France. Et pourtant, les choses se mettent en place doucement. Avec bien sûr, nos difficultés en Ligue des champions, mais je répète, je suis satisfait de cette saison. La meilleure de ma carrière. »
Après six journées sur huit en Ligue des champions, le PSG demeure classé au-delà du top 24 qualificatif pour la seconde phase de la compétition. « Qui cela intéresse-t-il que ce soit mérité ou pas ? Ce n'est important pour personne. C'est notre classement, c'est la réalité, nous l'acceptons, nous pensons simplement à retourner la situation. Le reste n'intéresse personne », pique le stratège ibère, manifestement agacé que la situation continentale du club lui soit systématiquement rappelée.
Dembélé, c’est compliqué…
Pour rectifier le tir, sur la phase initiale de la C1, le PSG ne pourra pas compter sur le mercato mais ce dernier levier ne sera assurément pas négligé. « Nous sommes préparés pour toutes les opportunités du mercato mais c'est toujours difficile d'améliorer cet effectif, souffle Luis Enrique. Le mercato de janvier est toujours difficile, mais je répète que j'ai confiance en mes joueurs. Que ceux qui jouent peu puissent entrer dans la rotation. »
Et d’évoquer le cas d’un Ousmane Dembélé en perte de vitesse, sans se montrer franchement rassurant ou bienveillant. « J'ai la même relation avec tous les joueurs. Je suis l'entraîneur. Pas leur père, leur frère, leur "bro"... Je dois prendre des décisions et je prends celles que je pense être les meilleures pour mon équipe. Je ne vais pas changer, je l'ai fait depuis le début de ma carrière... »
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