PSG, révolution confirmée !
Publié le , mis à jour le
De l’aveu même d’Eric Roy, l’entraîneur du Stade Brestois, le PSG compte parmi les favoris de la Ligue des champions.
Le PSG apparaît décidément inarrêtable depuis le début de l’année. Si ce n’est face à Reims, reparti du Parc des Princes avec le point du match nul (1-1), le club de la capitale a en effet gagné tous ses matches, enchaînant même les cartons depuis quelques semaines.
Dix jours après avoir été corrigé au Stade Francis Le Blé en Ligue 1 (5-2), le Stade Brestois a ainsi sombré 3-0 lors du match aller des barrages de la Ligue des champions disputé au Roudourou et Eric Roy n’avait que du bien à dire des hommes de Luis Enrique.
https://x.com/sports_fr/status/1889543220918444381
« Je pense sincèrement que Paris est une des 4-5 équipes favorites de cette compétition, a-t-il ainsi confié à l’issue de la rencontre. Même si j’ai senti Barcelone très fort quand on avait joué contre eux (avec à la clé une autre défaite 3-0, ndlr), je ne pense pas qu'ils soient inférieurs. Je ne pense pas qu’ils aient grand-chose à envier à beaucoup d’équipes de cette compétition. »
« Je pense qu'ils sont collectivement beaucoup plus forts que l’année dernière, a-t-il expliqué. Quand on voit les efforts que font les attaquants sur le pressing, sur la capacité à gérer le ballon après, à avoir des fulgurances, que ce soit sur du jeu placé ou des jeux de transition... Ils sont capables de tout faire donc à mon sens ils sont effectivement une des équipes favorites. Après, il y a des très grandes équipes aussi et on sait que dans ce genre de compétition, non seulement il faut avoir une grande équipe - comme ils ont - mais il faut aussi avoir un peu de réussite. On verra à l’avenir ce qui leur arrivera. »
Et l’avis d’Eric Roy est partagé par son attaquant Ludovic Ajorque. « Les Parisiens jouent tous ensemble. Ils pressent tous ensemble par rapport aux années précédentes, a-t-il soufflé en zone mixte. On a eu des situations de marquer, on ne l’a pas fait. Ce sont des grandes équipes, ils arrivent à faire le dos rond quand il faut et à nous piquer quand il faut, ne pouvait que constater après coup. »
Le PSG apparaît décidément inarrêtable depuis le début de l’année. Si ce n’est face à Reims, reparti du Parc des Princes avec le point du match nul (1-1), le club de la capitale a en effet gagné tous ses matches, enchaînant même les cartons depuis quelques semaines.
Dix jours après avoir été corrigé au Stade Francis Le Blé en Ligue 1 (5-2), le Stade Brestois a ainsi sombré 3-0 lors du match aller des barrages de la Ligue des champions disputé au Roudourou et Eric Roy n’avait que du bien à dire des hommes de Luis Enrique.
https://x.com/sports_fr/status/1889543220918444381
"Le PSG est une des 4-5 équipes favorites de cette compétition"
« Je pense sincèrement que Paris est une des 4-5 équipes favorites de cette compétition, a-t-il ainsi confié à l’issue de la rencontre. Même si j’ai senti Barcelone très fort quand on avait joué contre eux (avec à la clé une autre défaite 3-0, ndlr), je ne pense pas qu'ils soient inférieurs. Je ne pense pas qu’ils aient grand-chose à envier à beaucoup d’équipes de cette compétition. »
« Je pense qu'ils sont collectivement beaucoup plus forts que l’année dernière, a-t-il expliqué. Quand on voit les efforts que font les attaquants sur le pressing, sur la capacité à gérer le ballon après, à avoir des fulgurances, que ce soit sur du jeu placé ou des jeux de transition... Ils sont capables de tout faire donc à mon sens ils sont effectivement une des équipes favorites. Après, il y a des très grandes équipes aussi et on sait que dans ce genre de compétition, non seulement il faut avoir une grande équipe - comme ils ont - mais il faut aussi avoir un peu de réussite. On verra à l’avenir ce qui leur arrivera. »
Et l’avis d’Eric Roy est partagé par son attaquant Ludovic Ajorque. « Les Parisiens jouent tous ensemble. Ils pressent tous ensemble par rapport aux années précédentes, a-t-il soufflé en zone mixte. On a eu des situations de marquer, on ne l’a pas fait. Ce sont des grandes équipes, ils arrivent à faire le dos rond quand il faut et à nous piquer quand il faut, ne pouvait que constater après coup. »
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