Robert Pirès, le verdict tombe
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Champion du monde 1998 et d'Europe 2000 avec l'équipe de France, Robert Pirès a aussi marqué les clubs et les joueurs qui l'ont côtoyé. Franck Jurietti l'a confirmé.
Formé au Stade de Reims, c'est pourtant avec le FC Metz que Robert Pirès va se révéler. Durant cinq ans, le milieu offensif ne va cesser de progresser et parviendra même à emmener son club sur la deuxième marche du podium de la Ligue 1 en 1998. Ce même été, il connaîtra (déjà) l'une des plus belles périodes de sa carrière, avec le titre de champion du monde remporté pour la première fois de son histoire par la France. Son parcours ne cessera de se renforcer, avec notamment des passages à Marseille, mais surtout à Arsenal où il évoluera six saisons durant, avec deux titres de champion de Premier League à la clef. Des années plus tard, certains se souviennent encore très bien de lui.
C'est par exemple le cas de Franck Jurietti. Lui aussi passé par les Bleus (une sélection) ou encore l'OM (2001-2002), l'ancien rugueux défenseur a été invité à citer le meilleur joueur contre qui il a pu évoluer. Ce dimanche dans L’Équipe, il en a cité plusieurs, en fonction des championnats où il a joué. Et Robert Pirès a rapidement été mentionné. « En France, il y en a deux : Sonny Anderson, très intelligent dans son placement, et Robert Pirès qui m'a fait tourner en rond à Metz. Comme Franck Ribéry, dans un bon jour, Pirès partait pied droit, pied gauche, dans le zig, dans le zag... »
Et celui qui a également porté le maillot des Girondins de Bordeaux, de poursuivre avec un brin d'humour : « Il avait l'art du contre-pied et il allait vite sur dix mètres, cet enfoiré. J'en ai bavé avec lui. » Un bel hommage à sa manière, de la part de Franck Jurietti qui a également cité le nom de Frank Lampard et Steven Gerrard, parmi les joueurs les plus forts qu'il a croisés (cette fois en coupe d'Europe). Aujourd'hui retiré du football, Jurietti préfère suivre le rugby, lui qui vit désormais du côté de Moncao.
Quant à Robert Pirès, il reste bien implanté dans le milieu du ballon rond depuis sa fin de carrière, enchaînant notamment les expériences en tant que consultant. L'ancien Messin a marqué son temps et n'a pas été oublié. Que ce soit par le public ou par ses anciens adversaires et partenaires sur le terrain.
Formé au Stade de Reims, c'est pourtant avec le FC Metz que Robert Pirès va se révéler. Durant cinq ans, le milieu offensif ne va cesser de progresser et parviendra même à emmener son club sur la deuxième marche du podium de la Ligue 1 en 1998. Ce même été, il connaîtra (déjà) l'une des plus belles périodes de sa carrière, avec le titre de champion du monde remporté pour la première fois de son histoire par la France. Son parcours ne cessera de se renforcer, avec notamment des passages à Marseille, mais surtout à Arsenal où il évoluera six saisons durant, avec deux titres de champion de Premier League à la clef. Des années plus tard, certains se souviennent encore très bien de lui.
C'est par exemple le cas de Franck Jurietti. Lui aussi passé par les Bleus (une sélection) ou encore l'OM (2001-2002), l'ancien rugueux défenseur a été invité à citer le meilleur joueur contre qui il a pu évoluer. Ce dimanche dans L’Équipe, il en a cité plusieurs, en fonction des championnats où il a joué. Et Robert Pirès a rapidement été mentionné. « En France, il y en a deux : Sonny Anderson, très intelligent dans son placement, et Robert Pirès qui m'a fait tourner en rond à Metz. Comme Franck Ribéry, dans un bon jour, Pirès partait pied droit, pied gauche, dans le zig, dans le zag... »
« J'en ai bavé avec lui »
Et celui qui a également porté le maillot des Girondins de Bordeaux, de poursuivre avec un brin d'humour : « Il avait l'art du contre-pied et il allait vite sur dix mètres, cet enfoiré. J'en ai bavé avec lui. » Un bel hommage à sa manière, de la part de Franck Jurietti qui a également cité le nom de Frank Lampard et Steven Gerrard, parmi les joueurs les plus forts qu'il a croisés (cette fois en coupe d'Europe). Aujourd'hui retiré du football, Jurietti préfère suivre le rugby, lui qui vit désormais du côté de Moncao.
Quant à Robert Pirès, il reste bien implanté dans le milieu du ballon rond depuis sa fin de carrière, enchaînant notamment les expériences en tant que consultant. L'ancien Messin a marqué son temps et n'a pas été oublié. Que ce soit par le public ou par ses anciens adversaires et partenaires sur le terrain.
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