Robert Pirès se paie Marcel Desailly
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Publié le , mis à jour le
Marcel Desailly n'appréciera sans doute pas un bon souvenir que son ex-coéquipier chez les Bleus, Robert Pirès, garde de son passage à l’OM.
Robert Pirès et Marcel Desailly ont d’autres points communs que celui d’avoir soulevé la Coupe du monde avec l’équipe de France, le 12 juillet 1998. Durant leur carrière, l’ancien défenseur (56 ans) et l’ex-milieu de terrain offensif (51 ans) ont notamment tous les deux évolué à l’Olympique de Marseille: le premier de 1992 à 1993, remportant la Ligue des champions avant de filer à l’AC Milan ; le second de 1998 à 2000, avant de signer à Arsenal.
S’il n’a pas remporté le moindre titre avec l’OM, finissant deuxième du championnat et échouant en finale de la Coupe de l’UEFA contre Parme, celui qui a explosé chez les Gunners garde de très bons souvenirs de son séjour dans la cité phocéenne. Le meilleur ? "Certainement quand j’ai signé mon contrat, tout simplement parce que ça a représenté une étape supplémentaire à ma carrière", raconte-t-il dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux du club.
"Je venais d’un club familial, qui était le FC Metz, et c’est vrai que quand le président de l’époque, Robert Louis-Dreyfus, accompagné de Rolland Courbis qui était l’entraîneur, sont venus me voir, me rencontrer, c’était hyper important pour moi, se rappelle-t-il. Marseille, comme aujourd’hui, représentait beaucoup de choses pour le football français. Donc pour moi ça a été un très bon souvenir." D’autant qu’il s’est littéralement éclaté sous le maillot olympien.
"J’ai évolué dans un autre rôle, un autre registre, raconte l’ancien ailier international tricolore (79 sélections en bleu, 14 buts), que Rolland Courbis faisait jouer comme meneur de jeu derrière Florian Maurice, avec Christophe Dugarry à gauche et Fabrizio Ravanelli à droite. Je me suis régalé. Je me suis même amusé parfois sur le terrain. Et puis surtout, le Vélodrome représente beaucoup de choses. (…) À chaque fois qu’on sortait du tunnel, j’avais des frissons."
Des frissons, il en a ainsi ressentis lors d’un choc européen entre l’OM et Chelsea, lors de la saison 1999-2000. Ce jour-là, Robert Pirès avait donné la victoire aux Ciel et Blanc d’un but mémorable (1-0, 16e), sur une frappe déclenchée côté droit qui avait heurté les deux poteaux, après avoir déposé un Marcel Desailly à la peine. "Ce but, il est pas mal !, sourit-il. Il est joli parce que j’ai cette réussite, c’est que le ballon tape les deux poteaux sans toucher le sol."
"En fait, ce que j’aime dans ce but, c’est mon contrôle, la prise d’informations et l’accélération sur le grand Marcel Desailly, savoure-t-il. Alors lui, il n’aime pas. Il n’aime pas du tout parce que quand il revoit cette vidéo, ça lui fait mal. Mais personnellement, je suis content. L’ensemble de l’action est joli. On sent qu’il se passe quelque chose à ce moment-là entre les supporters et les joueurs. C’était juste exceptionnel." Pas sûr que l’ex-roc des Blues soit du même avis…
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Robert Pirès et Marcel Desailly ont d’autres points communs que celui d’avoir soulevé la Coupe du monde avec l’équipe de France, le 12 juillet 1998. Durant leur carrière, l’ancien défenseur (56 ans) et l’ex-milieu de terrain offensif (51 ans) ont notamment tous les deux évolué à l’Olympique de Marseille: le premier de 1992 à 1993, remportant la Ligue des champions avant de filer à l’AC Milan ; le second de 1998 à 2000, avant de signer à Arsenal.
S’il n’a pas remporté le moindre titre avec l’OM, finissant deuxième du championnat et échouant en finale de la Coupe de l’UEFA contre Parme, celui qui a explosé chez les Gunners garde de très bons souvenirs de son séjour dans la cité phocéenne. Le meilleur ? "Certainement quand j’ai signé mon contrat, tout simplement parce que ça a représenté une étape supplémentaire à ma carrière", raconte-t-il dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux du club.
Robert Pirès a adoré son passage à l’OM
"Je venais d’un club familial, qui était le FC Metz, et c’est vrai que quand le président de l’époque, Robert Louis-Dreyfus, accompagné de Rolland Courbis qui était l’entraîneur, sont venus me voir, me rencontrer, c’était hyper important pour moi, se rappelle-t-il. Marseille, comme aujourd’hui, représentait beaucoup de choses pour le football français. Donc pour moi ça a été un très bon souvenir." D’autant qu’il s’est littéralement éclaté sous le maillot olympien.
"J’ai évolué dans un autre rôle, un autre registre, raconte l’ancien ailier international tricolore (79 sélections en bleu, 14 buts), que Rolland Courbis faisait jouer comme meneur de jeu derrière Florian Maurice, avec Christophe Dugarry à gauche et Fabrizio Ravanelli à droite. Je me suis régalé. Je me suis même amusé parfois sur le terrain. Et puis surtout, le Vélodrome représente beaucoup de choses. (…) À chaque fois qu’on sortait du tunnel, j’avais des frissons."
"Quand il revoit cette vidéo, ça lui fait mal"
Des frissons, il en a ainsi ressentis lors d’un choc européen entre l’OM et Chelsea, lors de la saison 1999-2000. Ce jour-là, Robert Pirès avait donné la victoire aux Ciel et Blanc d’un but mémorable (1-0, 16e), sur une frappe déclenchée côté droit qui avait heurté les deux poteaux, après avoir déposé un Marcel Desailly à la peine. "Ce but, il est pas mal !, sourit-il. Il est joli parce que j’ai cette réussite, c’est que le ballon tape les deux poteaux sans toucher le sol."
"En fait, ce que j’aime dans ce but, c’est mon contrôle, la prise d’informations et l’accélération sur le grand Marcel Desailly, savoure-t-il. Alors lui, il n’aime pas. Il n’aime pas du tout parce que quand il revoit cette vidéo, ça lui fait mal. Mais personnellement, je suis content. L’ensemble de l’action est joli. On sent qu’il se passe quelque chose à ce moment-là entre les supporters et les joueurs. C’était juste exceptionnel." Pas sûr que l’ex-roc des Blues soit du même avis…
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