Zidane et les Bleus, ça se complique
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Zinedine Zidane à la tête de l’équipe de France, ce n’est visiblement pas pour demain…
L’objectif est clair: les Bleus cet été en Allemagne ont pour mission de rallier au moins le dernier carré de l'Euro 2024. Pas forcément une évidence au vu de la concurrence. Outre la Mannschaft, qui évoluera à domicile, l’Angleterre, le Portugal ou encore l’Espagne feront naturellement figure d’épouvantails. Autant d’adversaires susceptibles de faire barrage à une équipe de France qui en guise d’entrée devra composer avec l’Autriche, les Pays-Bas et la Pologne.
Si l’ambition de la Fédération française de football a été notifiée à Didier Deschamps, ce dernier ne risque rien pour autant en cas d’échec ou d’erreur de parcours. « Non, je ne le crois pas du tout, souffle auprès de L’Equipe le président Philippe Diallo. Déjà parce qu’il a un contrat qui va jusqu’en 2026. Au-delà de cela, on est avec un sélectionneur qui, depuis des années, a une pérennité de résultats au plus haut niveau qui plaident pour lui. »
A l’instar de son prédécesseur Noël Le Graët, le nouveau patron du football français ne compte pas toucher à l’icône Deschamps. « A l’Euro 2021, certains observateurs disaient que l’élimination en huitièmes de finale (face à la Suisse, aux tirs au but) était un échec et qu’il fallait changer de sélectionneur. Un an après, on jouait la finale de la Coupe du monde et il s’en est fallu de quelques centimètres pour que l’on ajoute une troisième étoile sur notre maillot (défaite aux tirs au but contre l’Argentine) », rappelle Philippe Diallo.
Aux commandes des Bleus depuis 2012, Didier Deschamps a les coudées franches sur le banc tricolore depuis 12 ans – une longévité encore jamais vue à ce poste – et il n’y a aucune raison selon la FFF d’écourter les deux années de contrat dont il bénéfice encore à ce jour. Son successeur tout désigné – Zinedine Zidane - qui ronge son frein dans l’ombre depuis son départ du Real Madrid en 2021, sait à quoi s’en tenir.
L’objectif est clair: les Bleus cet été en Allemagne ont pour mission de rallier au moins le dernier carré de l'Euro 2024. Pas forcément une évidence au vu de la concurrence. Outre la Mannschaft, qui évoluera à domicile, l’Angleterre, le Portugal ou encore l’Espagne feront naturellement figure d’épouvantails. Autant d’adversaires susceptibles de faire barrage à une équipe de France qui en guise d’entrée devra composer avec l’Autriche, les Pays-Bas et la Pologne.
Si l’ambition de la Fédération française de football a été notifiée à Didier Deschamps, ce dernier ne risque rien pour autant en cas d’échec ou d’erreur de parcours. « Non, je ne le crois pas du tout, souffle auprès de L’Equipe le président Philippe Diallo. Déjà parce qu’il a un contrat qui va jusqu’en 2026. Au-delà de cela, on est avec un sélectionneur qui, depuis des années, a une pérennité de résultats au plus haut niveau qui plaident pour lui. »
Encore deux ans, a minima
A l’instar de son prédécesseur Noël Le Graët, le nouveau patron du football français ne compte pas toucher à l’icône Deschamps. « A l’Euro 2021, certains observateurs disaient que l’élimination en huitièmes de finale (face à la Suisse, aux tirs au but) était un échec et qu’il fallait changer de sélectionneur. Un an après, on jouait la finale de la Coupe du monde et il s’en est fallu de quelques centimètres pour que l’on ajoute une troisième étoile sur notre maillot (défaite aux tirs au but contre l’Argentine) », rappelle Philippe Diallo.
Aux commandes des Bleus depuis 2012, Didier Deschamps a les coudées franches sur le banc tricolore depuis 12 ans – une longévité encore jamais vue à ce poste – et il n’y a aucune raison selon la FFF d’écourter les deux années de contrat dont il bénéfice encore à ce jour. Son successeur tout désigné – Zinedine Zidane - qui ronge son frein dans l’ombre depuis son départ du Real Madrid en 2021, sait à quoi s’en tenir.
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