Le Stade Toulousain dans le fauteuil de leader !
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Malgré un effectif largement diminué et remanié, le Stade Toulousain a écœuré Clermont en clôture de la 16e journée de Top 14 (18-35) et reprend seul les commandes avec trois points d'avance sur Bordeaux-Bègles et Toulon.
Avec ou sans ses internationaux, il existe une constante... Le Stade Toulousain est toujours aussi redoutable ! Malgré les 13 internationaux appelés en vue du prochain duel face à l'Italie - Aldegheri, Jelonch, Brennan et Flament ont été libérés – Toulouse a donné une véritable leçon de réalisme à des Clermontois abasourdis, au coup de sifflet final, par l'ampleur de leur défaite (18-35). Sévère par rapport à l'investissement et au jeu proposés. Décidément, affronter Toulouse est devenu un calvaire pour les Auvergnats, qui n'ont plus vaincu cet adversaire depuis janvier 2022 et qui restent sur cinq revers consécutifs. Pourtant, les joueurs de Christophe Urios - qui avaient décidé d'insuffler un nouveau souffle avec 6 changements dans son effectif par rapport à l'équipe battue à Pau (20-14) – avaient réalisé une entame de match très correcte. Problème, Clermont a gâché des munitions, dont cet essai mal aplati par Alivereti Raka (9e), ensuite coupable d'un contact tête contre tête avec Paul Costes, sanctionné d'un carton jaune (21e). Un handicap que Clermont aura bien du mal à surmonter...
Les hommes d'Ugo Mola vont en effet en profiter dans la foulée, avec un premier essai inscrit par Dimitri Delibes (0-10, 23e), puis un deuxième par l'intermédiaire d'Anthony Jelonch (3-17, 37e). Heureusement, les Jaune et Bleu vont réduire le score au bon moment, juste avant la pause, au terme d'une action collective conclue par Fritz Lee (8-17, 40e). Une bonne nouvelle n'arrive jamais seule... Anthony Jelonch reçoit un avertissement, ce qui va totalement relancer la partie. En supériorité numérique, l'ASM va rapidement inscrire un deuxième essai, l'oeuvre de Pierre Fouyssac (15-17, 46e), puis une pénalité d'Anthony Belleau (18-17, 56e). En quelques minutes, Clermont se retrouve devant ! Mais comme l'a expliqué Fouyssac après le match, les locaux ont alors manqué de maîtrise : « Nous étions dans le match, et une mauvaise réception dans notre camp nous coûte 3 points, ensuite un peu d'indiscipline... Il ne faut rient leur laisser... Ils sont revenus au score comme ça, puis ils ont pris le large. C'est compliqué. On a rivalisé avec eux pendant 60 minutes. »
Après l'heure de jeu, patatras... Toulouse, certainement plus frais physiquement grâce à sa profondeur de banc, va remettre un coup d'accélérateur fatal. Anthony Jelonch, dans tous les coups, a redonné l'impulsion à son équipe avec un essai important (18-27, 61e), tandis que Juan Cruz Mallia se montre impérial au pied (18-30, 66e). Deux minutes plus tard, Paul Graou met fin à tout suspense (18-35, 68e). « On a géré la fin de match comme on l'avait prévu, explique Anthony Jelonch. On savait que sur les 20 dernières minutes, on allait être plus frais qu'eux, avec un gros banc. C'est dommage de ne pas avoir pu grappiller le point de bonus offensif. » En effet, cela constituera le seul regret toulousain de la soirée, car il y aura eu les munitions.
Sur une excellente dynamique, le Stade Toulousain reprend, seul, possession du fauteuil de leader du Top 14 avec trois points d'avance sur Bordeaux-Bègles et Toulon. Un rang que Toulouse semble capable de préserver sur les deux prochaines journées, avec les réceptions de Bayonne et Vannes. Troisième après 11 journées, Clermont est désormais à la peine avec un bilan négatif de deux victoires sur ses huit dernières rencontres toutes compétitions confondues.
Avec ou sans ses internationaux, il existe une constante... Le Stade Toulousain est toujours aussi redoutable ! Malgré les 13 internationaux appelés en vue du prochain duel face à l'Italie - Aldegheri, Jelonch, Brennan et Flament ont été libérés – Toulouse a donné une véritable leçon de réalisme à des Clermontois abasourdis, au coup de sifflet final, par l'ampleur de leur défaite (18-35). Sévère par rapport à l'investissement et au jeu proposés. Décidément, affronter Toulouse est devenu un calvaire pour les Auvergnats, qui n'ont plus vaincu cet adversaire depuis janvier 2022 et qui restent sur cinq revers consécutifs. Pourtant, les joueurs de Christophe Urios - qui avaient décidé d'insuffler un nouveau souffle avec 6 changements dans son effectif par rapport à l'équipe battue à Pau (20-14) – avaient réalisé une entame de match très correcte. Problème, Clermont a gâché des munitions, dont cet essai mal aplati par Alivereti Raka (9e), ensuite coupable d'un contact tête contre tête avec Paul Costes, sanctionné d'un carton jaune (21e). Un handicap que Clermont aura bien du mal à surmonter...
Les hommes d'Ugo Mola vont en effet en profiter dans la foulée, avec un premier essai inscrit par Dimitri Delibes (0-10, 23e), puis un deuxième par l'intermédiaire d'Anthony Jelonch (3-17, 37e). Heureusement, les Jaune et Bleu vont réduire le score au bon moment, juste avant la pause, au terme d'une action collective conclue par Fritz Lee (8-17, 40e). Une bonne nouvelle n'arrive jamais seule... Anthony Jelonch reçoit un avertissement, ce qui va totalement relancer la partie. En supériorité numérique, l'ASM va rapidement inscrire un deuxième essai, l'oeuvre de Pierre Fouyssac (15-17, 46e), puis une pénalité d'Anthony Belleau (18-17, 56e). En quelques minutes, Clermont se retrouve devant ! Mais comme l'a expliqué Fouyssac après le match, les locaux ont alors manqué de maîtrise : « Nous étions dans le match, et une mauvaise réception dans notre camp nous coûte 3 points, ensuite un peu d'indiscipline... Il ne faut rient leur laisser... Ils sont revenus au score comme ça, puis ils ont pris le large. C'est compliqué. On a rivalisé avec eux pendant 60 minutes. »
Pas de bonus offensif pour le Stade Toulousain
Après l'heure de jeu, patatras... Toulouse, certainement plus frais physiquement grâce à sa profondeur de banc, va remettre un coup d'accélérateur fatal. Anthony Jelonch, dans tous les coups, a redonné l'impulsion à son équipe avec un essai important (18-27, 61e), tandis que Juan Cruz Mallia se montre impérial au pied (18-30, 66e). Deux minutes plus tard, Paul Graou met fin à tout suspense (18-35, 68e). « On a géré la fin de match comme on l'avait prévu, explique Anthony Jelonch. On savait que sur les 20 dernières minutes, on allait être plus frais qu'eux, avec un gros banc. C'est dommage de ne pas avoir pu grappiller le point de bonus offensif. » En effet, cela constituera le seul regret toulousain de la soirée, car il y aura eu les munitions.
Sur une excellente dynamique, le Stade Toulousain reprend, seul, possession du fauteuil de leader du Top 14 avec trois points d'avance sur Bordeaux-Bègles et Toulon. Un rang que Toulouse semble capable de préserver sur les deux prochaines journées, avec les réceptions de Bayonne et Vannes. Troisième après 11 journées, Clermont est désormais à la peine avec un bilan négatif de deux victoires sur ses huit dernières rencontres toutes compétitions confondues.
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