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Ntamack, la grande tristesse

Ntamack, la grande tristesse
Publié le , mis à jour le

A six jours du choc face à l’Afrique du Sud en quarts de finale de la Coupe du monde, les regards sont tournés vers l’infirmerie. Ce lundi s’annonce comme une journée décisive pour Antoine Dupont, victime d’une blessure au visage face à la Namibie et dans l’attente du feu vert du chirurgien qui l’a opéré pour reprendre un entraînement normal et ainsi prétendre au choc face aux Springboks. Et la journée sera également crucial pour Julien Marchand, blessé lors du match d’ouverture face à la Nouvelle-Zélande et toujours pas pleinement rétabli.

Ces deux incertitudes s’ajoutent au forfait de Romain Ntamack et à l’absence de Paul Willemse, qui a dû quitter le groupe des 33 peu avant le coup d’envoi de la Coupe du monde et se tient prêt à revenir. Une série de coups durs évoqués par Fabien Galthié à l’issue de la victoire face à l’Italie. « On est toujours tristes quand un joueur se blesse, dans le staff, on se sent toujours responsables mais pas coupables. Jamais. Quand on met un joueur sur le terrain, c’est qu’on a validé sa capacité concrète à jouer », a ainsi confié celui qui espère recevoir de bonnes nouvelles ce lundi.

« Encore une fois, on s’est préparés à ce scénario des blessures, qui n’est pas un bon scénario. Romain Ntamack, Paul Willemse, pendant la préparation, Julien Marchand, Antoine Dupont pendant la compétition… Si les deux derniers sont avec nous, c’est qu’on est certains qu’on va les retrouver dans la compétition., a-t-il d’ailleurs précisé. On est 33, on avance à 33 et comptez sur nous pour avancer ensemble. »

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