Toulouse vainqueur de Toulon à l'arraché

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Grâce à une pénalité de Thomas Ramos au-delà de la sirène, Toulouse valide in extremis son billet pour le dernier carré de la Champions Cup au terme d’un match intense à Toulon (18-21).
Toulouse a fait jouer son expérience. Au terme d’un match intense de bout en bout, le tenant du titre de la Champions Cup a validé son billet pour le dernier carré aux dépens d’une équipe de Toulon qui n’aura jamais abdiqué devant son public. Une rencontre qui a démarré par une anomalie. Après une faute au sol de Teddy Baubigny, Thomas Ramos a manqué la cible sur pénalité. Toutefois, dans une entame de match dominée par les Toulousains, l’arrière international a su se faire pardonner à l’issue des dix premières minutes pour ouvrir le score.
Mais la donne a très vite changé quand Cyril Baille s’est mis à la faute sur Dany Priso. Après appel à la vidéo par l’arbitre, le pilier toulousain a écopé d’un carton jaune quand Melvyn Jaminet s’est vu offrir l’opportunité de remettre les deux formations à égalité. Le buteur toulonnais ne s’est pas fait prier pour envoyer le ballon entre les perches. A un quart d’heure de la pause, après une position de hors-jeu de la défense de Toulouse, Toulon a doublé sa mise pour passer en tête au tableau d’affichage. Une fois la demi-heure de jeu passée, l’indiscipline des hommes d’Ugo Mola a été sanctionnée par deux nouvelles pénalités signée Melvyn Jaminet en l’espace de trois minutes. Mais le RCT n’a pas pu emmener son avantage de neuf longueurs jusqu’à la pause.
En effet, après la sirène, la défense varoise s’est mise à la faute au moment de contester le ballon au sol. Thomas Ramos a gardé la tête froide pour ramener le tenant du titre de cette Champions Cup à six unités au moment de retrouver les vestiaires. La deuxième période a démarré avec une équipe toulonnaise qui a joué à l’envers. Pour un plaquage provoquant un contact tête contre tête avec Paul Graou sur une action achevée par un ballon échappé sur la ligne par Julien Marchand, Baptiste Serin a écopé d’un carton jaune. Une supériorité numérique que Toulouse a immédiatement exploité.
En effet, sur une pénalité jouée rapidement à la main, Jack Willis a forcé le passage vers l’en-but toulonnais pour le premier essai de la rencontre. Thomas Ramos a alors échoué sur la transformation, le ballon heurtant le poteau. Pierre Mignoni et Ugo Mola ont alors décidé de lancer du sang frais. La domination du Stade Toulousain sur cette entame de deuxième période a été confirmée par Pita Akhi, qui a aplati un deuxième essai en l’espace de huit minutes. C’est sur un changement de tempo après un jeu d’avants que le centre tongien est allé à dame face à une défense du RCT désorganisée. Thomas Ramos a alors passé la transformation pour donner six points d’avance aux siens.
Une avance qui s’est avérée trop mince car, comme plus tôt dans cette rencontre, les Toulousains ont eu des soucis de discipline. Une faute en touche puis un plongeon de Joel Merkler ont permis à Melvyn Jaminet de passer deux pénalités en trois minutes à l’heure de jeu. Le résultat a été un score de parité avec le dernier quart d’heure du temps réglementaire en approche. Une fin de match qui a vu les conditions de jeu changer du tout au tout avec une pluie intense qui s’est invitée sur le Stade Mayol. A trois minutes de la sirène, Thomas Ramos a eu une balle de match consécutive à une faute en mêlée des avants toulonnais.
Toutefois, excentré sur la droite à 40 mètres, le buteur du club de Haute-Garonne a manqué la cible. Mais ce n’était que partie remise. Alors que Toulouse a maintenu Toulon sous pression dans cette fin de match, Gabin Villière s’est mis à la faute. Conservant le ballon au sol face à la pression adverse, l’ailier toulonnais a offert à Thomas Ramos l’occasion de passer un ultime pénalité au-delà de la sirène. Cette fois, le meilleur réalisateur de l’histoire du XV de France n’a pas craqué. Devant un public toulonnais dépité, il offre un court succès à Toulouse (18-21), synonyme de qualification pour les demi-finales de la Champions Cup et un duel franco-français contre Bordeaux-Bègles en terre girondine.
Toulouse a fait jouer son expérience. Au terme d’un match intense de bout en bout, le tenant du titre de la Champions Cup a validé son billet pour le dernier carré aux dépens d’une équipe de Toulon qui n’aura jamais abdiqué devant son public. Une rencontre qui a démarré par une anomalie. Après une faute au sol de Teddy Baubigny, Thomas Ramos a manqué la cible sur pénalité. Toutefois, dans une entame de match dominée par les Toulousains, l’arrière international a su se faire pardonner à l’issue des dix premières minutes pour ouvrir le score.
Mais la donne a très vite changé quand Cyril Baille s’est mis à la faute sur Dany Priso. Après appel à la vidéo par l’arbitre, le pilier toulousain a écopé d’un carton jaune quand Melvyn Jaminet s’est vu offrir l’opportunité de remettre les deux formations à égalité. Le buteur toulonnais ne s’est pas fait prier pour envoyer le ballon entre les perches. A un quart d’heure de la pause, après une position de hors-jeu de la défense de Toulouse, Toulon a doublé sa mise pour passer en tête au tableau d’affichage. Une fois la demi-heure de jeu passée, l’indiscipline des hommes d’Ugo Mola a été sanctionnée par deux nouvelles pénalités signée Melvyn Jaminet en l’espace de trois minutes. Mais le RCT n’a pas pu emmener son avantage de neuf longueurs jusqu’à la pause.
Toulon pris de vitesse
En effet, après la sirène, la défense varoise s’est mise à la faute au moment de contester le ballon au sol. Thomas Ramos a gardé la tête froide pour ramener le tenant du titre de cette Champions Cup à six unités au moment de retrouver les vestiaires. La deuxième période a démarré avec une équipe toulonnaise qui a joué à l’envers. Pour un plaquage provoquant un contact tête contre tête avec Paul Graou sur une action achevée par un ballon échappé sur la ligne par Julien Marchand, Baptiste Serin a écopé d’un carton jaune. Une supériorité numérique que Toulouse a immédiatement exploité.
En effet, sur une pénalité jouée rapidement à la main, Jack Willis a forcé le passage vers l’en-but toulonnais pour le premier essai de la rencontre. Thomas Ramos a alors échoué sur la transformation, le ballon heurtant le poteau. Pierre Mignoni et Ugo Mola ont alors décidé de lancer du sang frais. La domination du Stade Toulousain sur cette entame de deuxième période a été confirmée par Pita Akhi, qui a aplati un deuxième essai en l’espace de huit minutes. C’est sur un changement de tempo après un jeu d’avants que le centre tongien est allé à dame face à une défense du RCT désorganisée. Thomas Ramos a alors passé la transformation pour donner six points d’avance aux siens.
Ramos envoie Toulouse en demi-finales
Une avance qui s’est avérée trop mince car, comme plus tôt dans cette rencontre, les Toulousains ont eu des soucis de discipline. Une faute en touche puis un plongeon de Joel Merkler ont permis à Melvyn Jaminet de passer deux pénalités en trois minutes à l’heure de jeu. Le résultat a été un score de parité avec le dernier quart d’heure du temps réglementaire en approche. Une fin de match qui a vu les conditions de jeu changer du tout au tout avec une pluie intense qui s’est invitée sur le Stade Mayol. A trois minutes de la sirène, Thomas Ramos a eu une balle de match consécutive à une faute en mêlée des avants toulonnais.
Toutefois, excentré sur la droite à 40 mètres, le buteur du club de Haute-Garonne a manqué la cible. Mais ce n’était que partie remise. Alors que Toulouse a maintenu Toulon sous pression dans cette fin de match, Gabin Villière s’est mis à la faute. Conservant le ballon au sol face à la pression adverse, l’ailier toulonnais a offert à Thomas Ramos l’occasion de passer un ultime pénalité au-delà de la sirène. Cette fois, le meilleur réalisateur de l’histoire du XV de France n’a pas craqué. Devant un public toulonnais dépité, il offre un court succès à Toulouse (18-21), synonyme de qualification pour les demi-finales de la Champions Cup et un duel franco-français contre Bordeaux-Bègles en terre girondine.
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