Goffin: "Surpris de voir autant de joueurs me dire que j'avais eu raison de parler"
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Deux jours après son coup de gueule contre le public français, David Goffin a confié qu'il ne s'attendait pas à ce que ses propos aient un tel retentissement. Mais le Belge assure qu'il a reçu une importante vague de soutien après sa sortie.
C'est un David Goffin un peu gêné qui s'est présenté en conférence de presse, jeudi, après sa défaite contre Alexander Zverev au 2e tour de Roland-Garros. Le Belge sait bien qu'il s'est retrouvé sur le devant de la scène depuis deux jours, et son coup de gueule contre le public français après sa victoire contre Giovanni Mpetschi Perricard sur le court n°14.
"J'ai simplement dit ce que je pensais", justifie le Liégeois, qui n'imaginait pas que ses petites phrases lâchées aux médias de son pays, peu après 22h, dans une petite salle du centre de presse de Roland-Garros, feraient le tour du monde. "Je ne savais pas que ça allait prendre des proportions comme ça, faire autant de buzz, et conduire le tournoi à prendre des mesures, comme Amélie Mauresmo vient de le faire", a ajouté Goffin, en référence aux annonces faites par la directrice du tournoi.
Pour autant, l'ancien n°7 mondial ne retire rien de ses propos. Au contraire. "J'ai été surpris de voir autant de gens venir me voir, autant de joueurs, autant d'entraîneurs, pour me dire qu'ils étaient derrière moi, que j'avais eu raison de parler", explique-t-il.
Goffin a bien observé une évolution dans le public du tennis, notamment à Roland-Garros. "Quand c'est de plus en plus chaque année, il faut faire attention, estime le Belge. Il commence à y avoir des clans de supporters, c'est l'escalade. Je ne sais pas jusqu’où ça peut aller. Quand on voit le public des stades de foot, ça peut aller très loin. Je pense pas que ça ait sa place dans le tennis. Le principal c’est d'encourager celui qu’on aime. Mais faire déjouer celui qu’on n’aime pas, cela ne va pas dans le sens du code de conduite des supporters", prône-t-il.
C'est un David Goffin un peu gêné qui s'est présenté en conférence de presse, jeudi, après sa défaite contre Alexander Zverev au 2e tour de Roland-Garros. Le Belge sait bien qu'il s'est retrouvé sur le devant de la scène depuis deux jours, et son coup de gueule contre le public français après sa victoire contre Giovanni Mpetschi Perricard sur le court n°14.
"J'ai simplement dit ce que je pensais", justifie le Liégeois, qui n'imaginait pas que ses petites phrases lâchées aux médias de son pays, peu après 22h, dans une petite salle du centre de presse de Roland-Garros, feraient le tour du monde. "Je ne savais pas que ça allait prendre des proportions comme ça, faire autant de buzz, et conduire le tournoi à prendre des mesures, comme Amélie Mauresmo vient de le faire", a ajouté Goffin, en référence aux annonces faites par la directrice du tournoi.
Goffin: "Je ne sais pas jusqu'où ça peut aller"
Pour autant, l'ancien n°7 mondial ne retire rien de ses propos. Au contraire. "J'ai été surpris de voir autant de gens venir me voir, autant de joueurs, autant d'entraîneurs, pour me dire qu'ils étaient derrière moi, que j'avais eu raison de parler", explique-t-il.
Goffin a bien observé une évolution dans le public du tennis, notamment à Roland-Garros. "Quand c'est de plus en plus chaque année, il faut faire attention, estime le Belge. Il commence à y avoir des clans de supporters, c'est l'escalade. Je ne sais pas jusqu’où ça peut aller. Quand on voit le public des stades de foot, ça peut aller très loin. Je pense pas que ça ait sa place dans le tennis. Le principal c’est d'encourager celui qu’on aime. Mais faire déjouer celui qu’on n’aime pas, cela ne va pas dans le sens du code de conduite des supporters", prône-t-il.
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