L'alcool interdit en tribunes, le public rappelé à l'ordre à Roland-Garros
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Alors que plusieurs joueurs, dont David Goffin, se plaignent du public de Roland-Garros, Amélie Mauresmo a expliqué les mesures prises par le tournoi pour tenter d'enrayer ce phénomène.
La polémique commençait à grandir, alors Amélie Mauresmo a pris la parole. Au surlendemain du coup de gueule de David Goffin, qui s'est plaint de l'attitude du public de Roland-Garros, la directrice du tournoi a évoqué le sujet face aux médias ce jeudi midi.
Selon le discours qui circule, les joueurs seraient de plus en plus agacés par le comportement de certains spectateurs, un peu trop agités, parfois insultants. Un phénomène croissant observé depuis quelques années. Mauresmo, elle, se réjouit de voir "un enthousiasme grandissant" en tribunes depuis la crise Covid, qui avait plongé le sport dans un triste huis clos.
Mais pour l'ancienne n°1 mondiale, il est évident qu'il y a "des limites à ne pas franchir", celles du "respect" des joueurs. Depuis mercredi, la consigne a été passée aux arbitres d'être de plus en plus vigilants sur le comportement des spectateurs. C'est aussi à l'arbitre de chaise d'agir si des spectateurs se manifestent pendant les points, un problème soulevé par la n°1 mondiale Iga Swiatek.
Le cas échéant, si un spectateur dépasse les bornes, il pourra être exclu du court. Roland-Garros s'active d'ailleurs pour identifier le spectateur qui a lancé son chewing-gum sur David Goffin, mardi, sur le court n°14. Sans succès pour le moment. En attendant, une autre mesure concrète a été prise. Depuis mercredi, l'alcool, en vente libre dans les allées, n'est plus autorisé en tribunes.
La polémique commençait à grandir, alors Amélie Mauresmo a pris la parole. Au surlendemain du coup de gueule de David Goffin, qui s'est plaint de l'attitude du public de Roland-Garros, la directrice du tournoi a évoqué le sujet face aux médias ce jeudi midi.
Selon le discours qui circule, les joueurs seraient de plus en plus agacés par le comportement de certains spectateurs, un peu trop agités, parfois insultants. Un phénomène croissant observé depuis quelques années. Mauresmo, elle, se réjouit de voir "un enthousiasme grandissant" en tribunes depuis la crise Covid, qui avait plongé le sport dans un triste huis clos.
A l'arbitre de sévir
Mais pour l'ancienne n°1 mondiale, il est évident qu'il y a "des limites à ne pas franchir", celles du "respect" des joueurs. Depuis mercredi, la consigne a été passée aux arbitres d'être de plus en plus vigilants sur le comportement des spectateurs. C'est aussi à l'arbitre de chaise d'agir si des spectateurs se manifestent pendant les points, un problème soulevé par la n°1 mondiale Iga Swiatek.
Le cas échéant, si un spectateur dépasse les bornes, il pourra être exclu du court. Roland-Garros s'active d'ailleurs pour identifier le spectateur qui a lancé son chewing-gum sur David Goffin, mardi, sur le court n°14. Sans succès pour le moment. En attendant, une autre mesure concrète a été prise. Depuis mercredi, l'alcool, en vente libre dans les allées, n'est plus autorisé en tribunes.
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