Le gros coup de gueule d’Amélie Mauresmo !
Publié le , mis à jour le
La directrice du tournoi Amélie Mauresmo n’a pas caché son mécontentement à la vue des sièges vides à Roland-Garros.
Les tribunes de Roland-Garros ont beaucoup fait parler durant la quinzaine de Roland-Garros. Que ce soit en raison des excès de certains spectateurs ou à cause des sièges laissés vides à certains moments. Ce fut à plusieurs reprises le cas en début de session ou dans les loges à l’heure du déjeuner.
Mais le moment le plus critique a évidemment été au début de la deuxième demi-finale, vendredi. Rassasié par le spectacle offert par Carlos Alcaraz et Jannick Siner, de nombreux spectateurs ont en effet fait l’impasse sur le deuxième match entre Alexander Zverev et Casper Ruud, provoquant l’indignation. Une double billetterie a pourtant été instaurée depuis plusieurs années, mais de nombreuses places sont restées désespérément vides, et pas uniquement en loges.
A l’heure de faire le bilan de la quinzaine, Amélie Mauresmo n’a pas caché son mécontentement face à cette situation, qui se reproduit chaque année. « On ne se satisfait pas de ce qu’on a vu, a-t-elle ainsi expliqué face aux médias. On ne peut pas accepter de voir des tribunes vides comme ça sur une deuxième demi-finale. » Et l’ancienne numéro une mondiale d’ajouter avoir déjà réfléchi à la question.
« Je commence à avoir des idées peut-être plus poussées pour éviter ça, a-t-elle assuré. Mais encore une fois, il y a aussi des contraintes opérationnelles, il faut vraiment qu'on se pose. Je ne les donnerai pas aujourd'hui, je ne vous dirai pas non plus ce à quoi j’ai pensé, il faut qu'on en discute, qu’on en débatte, il faut que le sportif soit respecté, que tout l'opérationnel soit respecté. Croyez-moi, on ne satisfait pas de ce qu’on a vu. »
Et la situation interroge d’autant plus qu’à en croire Amélie Mauresmo, seuls 10% des spectateurs avaient des billets pour les deux demi-finales, le reste du public n’ayant acheté des billets pour une seule des deux rencontres. « Je ne suis pas dans la tête des acheteurs. Nous étions assez confiants sur le fait que les gens allaient venir. C'est compliqué de se dire que des gens qui ont un billet ne viennent pas », a soufflé la directrice, interloquée.
Les tribunes de Roland-Garros ont beaucoup fait parler durant la quinzaine de Roland-Garros. Que ce soit en raison des excès de certains spectateurs ou à cause des sièges laissés vides à certains moments. Ce fut à plusieurs reprises le cas en début de session ou dans les loges à l’heure du déjeuner.
Mais le moment le plus critique a évidemment été au début de la deuxième demi-finale, vendredi. Rassasié par le spectacle offert par Carlos Alcaraz et Jannick Siner, de nombreux spectateurs ont en effet fait l’impasse sur le deuxième match entre Alexander Zverev et Casper Ruud, provoquant l’indignation. Une double billetterie a pourtant été instaurée depuis plusieurs années, mais de nombreuses places sont restées désespérément vides, et pas uniquement en loges.
A l’heure de faire le bilan de la quinzaine, Amélie Mauresmo n’a pas caché son mécontentement face à cette situation, qui se reproduit chaque année. « On ne se satisfait pas de ce qu’on a vu, a-t-elle ainsi expliqué face aux médias. On ne peut pas accepter de voir des tribunes vides comme ça sur une deuxième demi-finale. » Et l’ancienne numéro une mondiale d’ajouter avoir déjà réfléchi à la question.
Le désarroi d'Amélie Mauresmo
« Je commence à avoir des idées peut-être plus poussées pour éviter ça, a-t-elle assuré. Mais encore une fois, il y a aussi des contraintes opérationnelles, il faut vraiment qu'on se pose. Je ne les donnerai pas aujourd'hui, je ne vous dirai pas non plus ce à quoi j’ai pensé, il faut qu'on en discute, qu’on en débatte, il faut que le sportif soit respecté, que tout l'opérationnel soit respecté. Croyez-moi, on ne satisfait pas de ce qu’on a vu. »
Et la situation interroge d’autant plus qu’à en croire Amélie Mauresmo, seuls 10% des spectateurs avaient des billets pour les deux demi-finales, le reste du public n’ayant acheté des billets pour une seule des deux rencontres. « Je ne suis pas dans la tête des acheteurs. Nous étions assez confiants sur le fait que les gens allaient venir. C'est compliqué de se dire que des gens qui ont un billet ne viennent pas », a soufflé la directrice, interloquée.
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