Monte-Carlo: Djokovic se confie avant son entrée en lice

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Une semaine après sa défaite en finale du Masters de Miami contre Jakub Mensik, Novak Djokovic a pris la direction de la Principauté pour y disputer le Masters de Monte-Carlo. Le Serbe, âgé de 37 ans, veut bien figurer ici.
C’est un Novak Djokovic avec l’envie de bien faire qui est arrivé en Principauté de Monaco à l’amorce du Masters de Monte-Carlo. C’est aussi dans la peau d’un joueur défait en finale la semaine dernière à Miami contre l’anonyme Jakub Mensik en deux manches. Après son abandon en demi-finales de l’Open d’Australie et ses défaites au premier tour à Doha et à Indian Wells, le Serbe revient en terres monégasques. Et cela tombe bien car le triple vainqueur en Grand Chelem en 2023 a déjà gagné sur la terre battue de Son Altesse Sérénissime Le Prince Albert II à deux reprises, c’était en 2013 face à Rafael Nadal et en 2015 contre Tomas Berdych.
Et c’est dans la peau de la tête de série N°3 qu’il débarque dans le tableau principal. En raison de son statut, il est d’ailleurs exempté de premier tour. Mais une chose est sûre, il est déterminé à montrer qu’il peut encore tenir un certain niveau. Et pour l’occasion, il a changé ses habitudes puisqu’il a emmené dans ses « bagages » son frère Marko. À L’Équipe, il a confié ses impressions à l’amorce de son entrée en lice. À la question de savoir s’il a toujours cette motivation, il répond : « Il faut trouver l'équilibre au fil du temps entre la vie professionnelle et la vie de famille, reconnaît « Nole ». Être satisfait de ce que je fais, de comment je le fais, pas seulement dans les tournois, mais aussi à l'entraînement. Il n'y a aucun doute sur le fait que ça va devenir plus difficile que ça l'a été précédemment dans ma carrière. Mais quand je joue de la manière dont j'ai joué à Miami, ça me donne de l'inspiration à continuer. […] Mes attentes ne sont pas très élevées ici. Le but, c'est d'avoir le plus grand nombre de matches possibles et avoir le pic pour Roland, évidemment. »
Pour son premier match, il sera opposé à Stan Wawrinka ou Alejandro Tabilo. Et il n’a échappé à personne que Novak Djokovic est à 99 sacres en Masters 1000… Mais à la question de savoir si en cas de succès dans un Masters 1000 et également dans un Grand Chelem (ce qui serait son 25ème), le Serbe raccrocherait la raquette, il répond par la négative : « Je ne pense pas mais on ne sait jamais (sourires), déclare t-il à l’Équipe. Je pense toujours que j'ai encore assez d'essence dans le moteur. Comme je l'ai prouvé en Australie et à Miami, je peux encore jouer à très haut niveau. La compétition me donne encore de la satisfaction. […] Voyons ce que l'avenir réserve. Si vous me dites que je gagnerai mon 100ème titre sur un Grand Chelem, je signe immédiatement. Mais c'est une grosse montagne à gravir. »
C’est un Novak Djokovic avec l’envie de bien faire qui est arrivé en Principauté de Monaco à l’amorce du Masters de Monte-Carlo. C’est aussi dans la peau d’un joueur défait en finale la semaine dernière à Miami contre l’anonyme Jakub Mensik en deux manches. Après son abandon en demi-finales de l’Open d’Australie et ses défaites au premier tour à Doha et à Indian Wells, le Serbe revient en terres monégasques. Et cela tombe bien car le triple vainqueur en Grand Chelem en 2023 a déjà gagné sur la terre battue de Son Altesse Sérénissime Le Prince Albert II à deux reprises, c’était en 2013 face à Rafael Nadal et en 2015 contre Tomas Berdych.
Et c’est dans la peau de la tête de série N°3 qu’il débarque dans le tableau principal. En raison de son statut, il est d’ailleurs exempté de premier tour. Mais une chose est sûre, il est déterminé à montrer qu’il peut encore tenir un certain niveau. Et pour l’occasion, il a changé ses habitudes puisqu’il a emmené dans ses « bagages » son frère Marko. À L’Équipe, il a confié ses impressions à l’amorce de son entrée en lice. À la question de savoir s’il a toujours cette motivation, il répond : « Il faut trouver l'équilibre au fil du temps entre la vie professionnelle et la vie de famille, reconnaît « Nole ». Être satisfait de ce que je fais, de comment je le fais, pas seulement dans les tournois, mais aussi à l'entraînement. Il n'y a aucun doute sur le fait que ça va devenir plus difficile que ça l'a été précédemment dans ma carrière. Mais quand je joue de la manière dont j'ai joué à Miami, ça me donne de l'inspiration à continuer. […] Mes attentes ne sont pas très élevées ici. Le but, c'est d'avoir le plus grand nombre de matches possibles et avoir le pic pour Roland, évidemment. »
Pas envie de raccrocher
Pour son premier match, il sera opposé à Stan Wawrinka ou Alejandro Tabilo. Et il n’a échappé à personne que Novak Djokovic est à 99 sacres en Masters 1000… Mais à la question de savoir si en cas de succès dans un Masters 1000 et également dans un Grand Chelem (ce qui serait son 25ème), le Serbe raccrocherait la raquette, il répond par la négative : « Je ne pense pas mais on ne sait jamais (sourires), déclare t-il à l’Équipe. Je pense toujours que j'ai encore assez d'essence dans le moteur. Comme je l'ai prouvé en Australie et à Miami, je peux encore jouer à très haut niveau. La compétition me donne encore de la satisfaction. […] Voyons ce que l'avenir réserve. Si vous me dites que je gagnerai mon 100ème titre sur un Grand Chelem, je signe immédiatement. Mais c'est une grosse montagne à gravir. »
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