Rafael Nadal, la grosse inquiétude
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Apparu dépassé, samedi, face à Hubert Hurcasz au deuxième tour du Masters 1000 de Rome, Rafael Nadal laisse planer le doute quant à sa présence à Roland-Garros.
A moins de deux semaines du coup d’envoi de Roland-Garros, Rafael Nadal est en plein doute. Conséquence de son niveau de jeu affiché ce samedi lors de son match face à Hubert Hurcasz lors du deuxième tour du Masters 1000 de Rome. L’ancien numéro un mondial a en effet été sèchement battu par Hubert Hurcasz, son premier Top 10 depuis un an et demi, s’inclinant 6-1, 6-3 au terme d’un match à sens unique.
Après avoir difficilement battu le Belge Zizou Bergs au premier tour, l’Espagnol est apparu impuissant, en souffrance pour se déplacer. De quoi rendre incertaine sa présence Porte d’Auteuil. « Si je ne peux pas jouer à Roland-Garros, ce sera très dur, c’est certain, a-t-il d’ailleurs reconnu au micro de Stade 2. Mais personnellement, avec toutes les émotions que j’ai vécues là-bas, je crois que ce serait encore plus dur pour moi de jouer sans être compétitif. Je ne veux pas me sentir à Roland-Garros comme je me suis senti à Madrid ou à Barcelone, sans pouvoir me battre réellement. »
De son propre aveu, le majeur parisien, qu’il a remporté pas moins de 14 fois, a évidemment une importance toute particulière à ses yeux, Paris étant même la ville "plus importante" de sa riche carrière. Pour autant, il n’entend pas venir à Roland-Garros pour seulement y faire acte de présence.
« Je ne sais pas si c’est ça, être compétitif. Je crois que c’est aller jouer le tournoi en pensant que je peux être au maximum, à 100%. Et si 100%, ça n’est pas suffisant même pour gagner un seul match, il faudra l’accepter, a-t-il assuré. Mais je ne veux pas entrer sur le court en sachant que je n’ai aucune option. S’il y a une infime possibilité de gagner, je veux le tenter, je veux essayer. Mais s’il n'y a vraiment aucune chance, non, je préfère rester avec d’autres souvenirs. »
A moins de deux semaines du coup d’envoi de Roland-Garros, Rafael Nadal est en plein doute. Conséquence de son niveau de jeu affiché ce samedi lors de son match face à Hubert Hurcasz lors du deuxième tour du Masters 1000 de Rome. L’ancien numéro un mondial a en effet été sèchement battu par Hubert Hurcasz, son premier Top 10 depuis un an et demi, s’inclinant 6-1, 6-3 au terme d’un match à sens unique.
Après avoir difficilement battu le Belge Zizou Bergs au premier tour, l’Espagnol est apparu impuissant, en souffrance pour se déplacer. De quoi rendre incertaine sa présence Porte d’Auteuil. « Si je ne peux pas jouer à Roland-Garros, ce sera très dur, c’est certain, a-t-il d’ailleurs reconnu au micro de Stade 2. Mais personnellement, avec toutes les émotions que j’ai vécues là-bas, je crois que ce serait encore plus dur pour moi de jouer sans être compétitif. Je ne veux pas me sentir à Roland-Garros comme je me suis senti à Madrid ou à Barcelone, sans pouvoir me battre réellement. »
Nadal entretient le doute
De son propre aveu, le majeur parisien, qu’il a remporté pas moins de 14 fois, a évidemment une importance toute particulière à ses yeux, Paris étant même la ville "plus importante" de sa riche carrière. Pour autant, il n’entend pas venir à Roland-Garros pour seulement y faire acte de présence.
« Je ne sais pas si c’est ça, être compétitif. Je crois que c’est aller jouer le tournoi en pensant que je peux être au maximum, à 100%. Et si 100%, ça n’est pas suffisant même pour gagner un seul match, il faudra l’accepter, a-t-il assuré. Mais je ne veux pas entrer sur le court en sachant que je n’ai aucune option. S’il y a une infime possibilité de gagner, je veux le tenter, je veux essayer. Mais s’il n'y a vraiment aucune chance, non, je préfère rester avec d’autres souvenirs. »
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