« Richard Gasquet aurait été numéro un mondial si… »
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Alors que Richard Gasquet a peut-être disputé son dernier Roland-Garros, Fabrice Santoro est convaincu que le Biterrois aurait pu aller plus haut.
Il n’y a pas eu de miracle pour Richard Gasquet. Opposé à Jannik Sinner au deuxième tour de Roland-Garros, le Français s’est logiquement incliné en trois sets (6-4, 6-2, 6-4) malgré la gêne physique ressentie par l’Italien. Malgré la défaite, le Biterrois était satisfait de sa soirée sur le court Philippe Chatrier. « Il y avait de belles émotions. C'est beau de jouer le soir comme ça contre le n° 2 mondial », a-t-il lancé.
Surtout, malgré la domination de son adversaire, Richard Gasquet était satisfait de son match. De quoi l’inciter à poursuivre l’aventure. « Ça donne envie de continuer, j'espère encore jouer un petit peu à ce niveau-là. Il y a eu de bonnes choses sur ce Roland-Garros », a-t-il confié, entretenant néanmoins le flou sur la suite de sa carrière: « Je prends mois après mois. C'est toujours flou. On verra bien si j'arrête en fin d'année, la saison prochaine. C'est bien de gagner ici (au premier tour), mais tout est possible. Quand tu perds deux-trois matches, tu te dis qu'une semaine après, c'est fini. Si je reperds trois fois de suite sur gazon... Il y a des hauts et des bas. Là, je me sens pas mal. Pas si mal. »
Mais à l’heure où la question de la retraite se pose, Fabrice Santoro a partagé ses regrets concernant la carrière de Richard Gasquet. Pour lui, son compatriote aurait pu aller plus haut s’il n’avait pas été allergique à la lumière. « Peut‐être plus maintenant, mais pendant les 10–15 premières années de sa carrière, quand il avait une caméra devant lui, il baissait les yeux, il était vraiment en difficulté. Et puis il n’aimait pas forcément jouer sur les grands courts », a-t-il soufflé.
A tel point que selon lui, « Richard, s’il avait pu jouer tous ses matchs sur le court 18, il aurait été numéro 1 mondial ». « La lumière ne l’intéressait pas forcément, a-t-il renchéri. Ce qu’il aime, c’est jouer au tennis, faire des revers, des coups droits et transpirer. Mais c’est vraiment un bon gars qui fait l’unanimité.»
Il n’y a pas eu de miracle pour Richard Gasquet. Opposé à Jannik Sinner au deuxième tour de Roland-Garros, le Français s’est logiquement incliné en trois sets (6-4, 6-2, 6-4) malgré la gêne physique ressentie par l’Italien. Malgré la défaite, le Biterrois était satisfait de sa soirée sur le court Philippe Chatrier. « Il y avait de belles émotions. C'est beau de jouer le soir comme ça contre le n° 2 mondial », a-t-il lancé.
Surtout, malgré la domination de son adversaire, Richard Gasquet était satisfait de son match. De quoi l’inciter à poursuivre l’aventure. « Ça donne envie de continuer, j'espère encore jouer un petit peu à ce niveau-là. Il y a eu de bonnes choses sur ce Roland-Garros », a-t-il confié, entretenant néanmoins le flou sur la suite de sa carrière: « Je prends mois après mois. C'est toujours flou. On verra bien si j'arrête en fin d'année, la saison prochaine. C'est bien de gagner ici (au premier tour), mais tout est possible. Quand tu perds deux-trois matches, tu te dis qu'une semaine après, c'est fini. Si je reperds trois fois de suite sur gazon... Il y a des hauts et des bas. Là, je me sens pas mal. Pas si mal. »
Richard Gasquet n'aimait pas assez la lumière
Mais à l’heure où la question de la retraite se pose, Fabrice Santoro a partagé ses regrets concernant la carrière de Richard Gasquet. Pour lui, son compatriote aurait pu aller plus haut s’il n’avait pas été allergique à la lumière. « Peut‐être plus maintenant, mais pendant les 10–15 premières années de sa carrière, quand il avait une caméra devant lui, il baissait les yeux, il était vraiment en difficulté. Et puis il n’aimait pas forcément jouer sur les grands courts », a-t-il soufflé.
A tel point que selon lui, « Richard, s’il avait pu jouer tous ses matchs sur le court 18, il aurait été numéro 1 mondial ». « La lumière ne l’intéressait pas forcément, a-t-il renchéri. Ce qu’il aime, c’est jouer au tennis, faire des revers, des coups droits et transpirer. Mais c’est vraiment un bon gars qui fait l’unanimité.»
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