Sinner : « J'ai pensé à tout arrêter »

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Alors qu'il va prochainement pouvoir reprendre la compétition, début mai à Rome, Jannik Sinner est récemment revenu sur sa suspension pour dopage lors d'un entretien accordé à la Rai.
Contrôlé positif à un anabolisant, le clostebol, en mars 2024 et suspendu trois mois après avoir remporté l'Open d'Australie en janvier dernier, Jannik Sinner va prochainement pouvoir faire son retour à la compétition. En effet, alors que Roland-Garros se rapproche à grands pas, l'Italien (23 ans) pourra disputer le Masters 1000 de Rome, qui débute le 7 mai prochain (sa suspension prend fin trois jours avant). Mardi soir, lors du journal télé de la Rai "TG1", l'actuel numéro un mondial est notamment revenu sur cette période compliquée pour lui. « J'ai été un peu critiqué sur le fait que j'aurais été traité différemment, mais ce n'est pas vrai. Personne n'a de traitements de faveur. (...) Je ne veux pas répondre ou réagir (aux critiques), ils sont libres de dire ce qu'ils veulent et juger les gens », a dans une premier temps déclaré celui qui a déjà remporté trois titres en Grand Chelem.
« Pour moi, ce qui compte c'est que je sais ce qu'il s'est passé, c'était difficile et je ne souhaite à personne de passer d'innocent à vivre ce que j'ai vécu. (...) Je n'ai pas compris ce qui est arrivé, je ne savais rien. J'ai eu du mal à accepter ces trois mois de suspension, parce que dans ma tête, je n'avais rien fait de mal. J'ai vécu une année remplie de difficultés. (...) Quand je suis arrivé en Australie en janvier dernier, j'étais mal à l'aise, notamment parce que j'avais l'impression que les autres joueurs me regardaient différemment. A un moment, j'ai même pensé tout arrêter, a par la suite confié Sinner, à la Rai. J'ai eu la chance d'avoir autour de moi des personnes qui m'ont aidé et qui m'ont cru. Elles ont été très importantes pour m'aider dans ces moments-là (...) et cela m'a donné l'envie de continuer. » Alors que cette affaire est désormais presque derrière lui, l'Italien va maintenant tenter de faire parler de lui en brillant à nouveau sur les courts.
Contrôlé positif à un anabolisant, le clostebol, en mars 2024 et suspendu trois mois après avoir remporté l'Open d'Australie en janvier dernier, Jannik Sinner va prochainement pouvoir faire son retour à la compétition. En effet, alors que Roland-Garros se rapproche à grands pas, l'Italien (23 ans) pourra disputer le Masters 1000 de Rome, qui débute le 7 mai prochain (sa suspension prend fin trois jours avant). Mardi soir, lors du journal télé de la Rai "TG1", l'actuel numéro un mondial est notamment revenu sur cette période compliquée pour lui. « J'ai été un peu critiqué sur le fait que j'aurais été traité différemment, mais ce n'est pas vrai. Personne n'a de traitements de faveur. (...) Je ne veux pas répondre ou réagir (aux critiques), ils sont libres de dire ce qu'ils veulent et juger les gens », a dans une premier temps déclaré celui qui a déjà remporté trois titres en Grand Chelem.
Sinner a eu du mal à accepter sa suspension
« Pour moi, ce qui compte c'est que je sais ce qu'il s'est passé, c'était difficile et je ne souhaite à personne de passer d'innocent à vivre ce que j'ai vécu. (...) Je n'ai pas compris ce qui est arrivé, je ne savais rien. J'ai eu du mal à accepter ces trois mois de suspension, parce que dans ma tête, je n'avais rien fait de mal. J'ai vécu une année remplie de difficultés. (...) Quand je suis arrivé en Australie en janvier dernier, j'étais mal à l'aise, notamment parce que j'avais l'impression que les autres joueurs me regardaient différemment. A un moment, j'ai même pensé tout arrêter, a par la suite confié Sinner, à la Rai. J'ai eu la chance d'avoir autour de moi des personnes qui m'ont aidé et qui m'ont cru. Elles ont été très importantes pour m'aider dans ces moments-là (...) et cela m'a donné l'envie de continuer. » Alors que cette affaire est désormais presque derrière lui, l'Italien va maintenant tenter de faire parler de lui en brillant à nouveau sur les courts.
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