Zverev s'énerve au sujet de son procès: "Je ne veux plus de questions à ce sujet"
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Publié le , mis à jour le
Alors que son procès pour violences conjugales s'est conclu par un accord financier, Alexander Zverev estime sortir blanchi de cette affaire, et ne veut plus que le sujet soit abordé.
Avant de qualifier pour sa toute première finale à Roland-Garros, Alexander Zverev avait débuté la journée par une toute autre nouvelle. A Berlin, son procès pour violences domestiques s'est terminé par un accord à l'amiable.
Alors qu'il était accusé d'avoir étranglé son ancienne petite amie, et la justice l'avait condamné à une amende de 450 000 euros en première instance, Zverev a accepté de verser de 200 000 euros pour mettre fin à ce procès, avec l'accord de son ancienne compagne, qui aurait souhaité agir ainsi pour préserver leur enfant.
Après sa demi-finale contre Casper Ruud, Zverev a été interrogé d'emblée sur ce sujet épineux en conférence de presse. Et l'Allemand, qui a toujours clamé son innocence, est heureux que tout ceci soit terminé. "Je vous l'avais dit depuis le début, je l'avais dit à tout le monde, a rappelé le joueur, lui qui assurait être certain que la justice de son pays allait le blanchir. Je suis heureux que ce soit fini. Rien d'autre à dire. C'est fait. Quatre années (depuis les premières accusations de violences conjugales à son encontre, ndlr). J'en suis heureux."
Pourtant, cette résolution laisse penser que Zverev n'a pas vraiment été innocenté, et qu'il a plutôt acheté sa tranquillité à ce sujet. Mais l'Allemand n'est pas de cet avis. Pour lui, cet accord le blanchit. "C'est cela, abandonner les poursuites, explique-t-il. C'est ça être innocent. Ils ne vont pas abandonner l'affaire si vous êtes coupable. Je ne sais pas quelles traductions vous avez, mais c'est ce que cela signifie. C'est fini. Nous passons à autre chose. Je ne veux plus jamais en entendre une autre question sur le sujet. Et cela vaut pour tout le monde", a-t-il conclu face aux médias.
Avant de qualifier pour sa toute première finale à Roland-Garros, Alexander Zverev avait débuté la journée par une toute autre nouvelle. A Berlin, son procès pour violences domestiques s'est terminé par un accord à l'amiable.
Alors qu'il était accusé d'avoir étranglé son ancienne petite amie, et la justice l'avait condamné à une amende de 450 000 euros en première instance, Zverev a accepté de verser de 200 000 euros pour mettre fin à ce procès, avec l'accord de son ancienne compagne, qui aurait souhaité agir ainsi pour préserver leur enfant.
Zverev: "C'est ça être innocent"
Après sa demi-finale contre Casper Ruud, Zverev a été interrogé d'emblée sur ce sujet épineux en conférence de presse. Et l'Allemand, qui a toujours clamé son innocence, est heureux que tout ceci soit terminé. "Je vous l'avais dit depuis le début, je l'avais dit à tout le monde, a rappelé le joueur, lui qui assurait être certain que la justice de son pays allait le blanchir. Je suis heureux que ce soit fini. Rien d'autre à dire. C'est fait. Quatre années (depuis les premières accusations de violences conjugales à son encontre, ndlr). J'en suis heureux."
Pourtant, cette résolution laisse penser que Zverev n'a pas vraiment été innocenté, et qu'il a plutôt acheté sa tranquillité à ce sujet. Mais l'Allemand n'est pas de cet avis. Pour lui, cet accord le blanchit. "C'est cela, abandonner les poursuites, explique-t-il. C'est ça être innocent. Ils ne vont pas abandonner l'affaire si vous êtes coupable. Je ne sais pas quelles traductions vous avez, mais c'est ce que cela signifie. C'est fini. Nous passons à autre chose. Je ne veux plus jamais en entendre une autre question sur le sujet. Et cela vaut pour tout le monde", a-t-il conclu face aux médias.
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